Tour Eiffel

En 1889, lors de son inauguration, la Tour Eiffel détenait le record de la plus haute construction avec 300m de haut.

Tour Eiffel

Historique de la Tour Eiffel

Initialement construite pour célébrer le centenaire de la Révolution à l’occasion de l’Exposition Universelle de 1889 elle devait être démontée ensuite. Depuis cette structure d’acier qui défiait les règles de l’architecture demeure le symbole de Paris. Elle servit d’antenne émettrice de radio et télégraphe dès les années 20 puis ensuite devint relais de radio et télévision pour Paris et sa région.

En remportant le concours de projet pour l’Exposition Universelle de 1889 l’ingénieur Gustave Eiffel prouvait au grand public la résistance de ces structures métalliques qu’il avait mis au point comme constructeur de viaducs ferroviaires. L’opinion publique était quant à elle très partagée tout au long de la construction au point qu’Eiffel dut intervenir personnellement pour la rassurer. Cela n’empêcha point Guy de Maupassant de quitter Paris pour éviter la vue de cette « carcasse métallique ». Heureusement elle eut pour héros des champions de la modernité tels que Seurat et Le Douanier Rousseau qui la peignirent respectivement en 1889 et 1890.

Un siècle plus tard certains l’escaladent à mains nues, sans corde, ou bien sautent du 3ème étage en parachute, … Exploits qui se terminent immanquablement au commissariat de Police!

La Tour Eiffel, un monument emblématique

La Tour Eiffel est l’un des symboles les plus reconnaissables de la ville de Paris, qui est souvent considérée comme l’une des plus belles villes du monde. Elle est devenue au fil du temps un symbole de la ville et une attraction touristique incontournable . Elle a été construite pour l’Exposition universelle de 1889 à Paris pour célébrer le centenaire de la Révolution française. Elle a été considérée comme un exploit technologique à l’époque de sa construction car elle a été la première tour en fer à être construite au monde. Elle est également restée pendant de nombreuses années la plus haute structure de la planète, représentant l’ingéniosité et la créativité humaines.

La Tour Eiffel offre une vue imprenable sur Paris depuis son sommet. De là-haut, les visiteurs peuvent voir les toits de Paris, la Seine et les nombreux monuments célèbres de la ville, ce qui en fait un lieu privilégié pour les photographes, les touristes et les visiteurs. Elle est constituée de 12000 poutres d’acier assemblées par 2500 000 rivets. Elle compte trois étages : 

  • Le 1er à 57m,
  • le second à 115m,
  • le troisième à 276m.

Le sommet de l’antenne est à 320m du sol.  Depuis le 3ème étage on peut admirer Paris et sa banlieue et les jours de grand beau on aperçoit la cathédrale de Chartres. 

En tant que monument historique, la Tour Eiffel n’a pas subi de changements majeurs ces dernières années, voici  quelques caractéristiques notables du monument : 

  • La Tour Eiffel est haute de 324 mètres , ce qui en fait la plus haute structure de Paris et l’un des monuments les plus hauts du monde.
  • La Tour Eiffel est construite en fer puddlé , un matériau innovant pour l’époque de sa construction. Elle se compose de quatre piliers couronnés par une plateforme d’observation à chaque niveau, avec un restaurant renommé situé au sommet.
  • Ces dernières années, des efforts ont été déployés pour améliorer l’expérience des visiteurs à la Tour Eiffel, notamment la modernisation de l’éclairage et l’installation d’ascenseurs plus rapides et plus écologiques.
  • La Tour Eiffel est également utilisée pour des événements spéciaux et des célébrations, tels que la Fête de la musique, les feux d’artifice du 14 juillet, et les défilés de mode. 

La Tour Eiffel est un lieu de célébration pour les événements spéciaux, tels que les feux d’artifice , les défilés militaires et les événements sportifs . Elle est également utilisée pour commémorer des événements tragiques, comme les attentats terroristes de 2015 à Paris, qui ont vu la Tour Eiffel éclairée en bleu-blanc-rouge en hommage aux victimes.

Adresse :  Champs de Mars  75007 Paris Téléphone :  01 44 11 23 23

Pour s’y rendre : 

  • Métro ligne 6 : Bir Hakeim
  • Bus : 42, 69, 72, 82
  • RER C : Champs de Mars
  • Par ascenseur de 9h30 à 23h.
  • Juillet et août : 9h à 24h.
  • Dernière admission 1h avant la fermeture. 

Site officiel :  https://www.toureiffel.paris

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La Tour Eiffel, histoire mouvementée d’un chef-d’œuvre vertigineux

La Tour Eiffel, histoire mouvementée d’un chef-d’œuvre vertigineux

La Tour est l’œuvre principale de M. Eiffel et apparaît comme un symbole de force et de difficultés vaincues. C’est ainsi que Gustave Eiffel lui-même présente, dans sa Biographie scientifique et industrielle (1920), le chapitre consacré à la Tour de 300 mètres. Triomphe de l’Exposition universelle de 1889, elle fut longtemps au centre de tous les débats architecturaux et artistiques.

L’idée d’une tour de grande hauteur était dans l’air depuis un moment déjà. Dès 1833, l’ingénieur anglais Trevithick propose d’élever une colonne en fonte ajourée de 1 000 pieds de hauteur (304,8 m), tandis que les ingénieurs américains Clarke et Reeves font le projet d’une tour de 304 m pour l’Exposition universelle de Philadelphie en 1876. À Bruxelles, on songe à une tour en bois de 200 m, à Turin, Alessandro Antonelli dresse en 1863 une synagogue en maçonnerie de 163 m, la Mole Antonelliana, et à Paris, on suggère l’érection d’un phare monumental destiné à éclairer la capitale. C’est dans ce contexte que naît le dessein de construire une tour de 300 mètres qui serait le « clou » de l’Exposition de 1889 et célébrerait à la fois les vertus de l’Industrie et le centenaire de la Révolution française.

Une sorte de grand pylône

Dès 1884, deux ingénieurs de la maison Eiffel, Maurice Koechlin et Émile Nouguier s’attachent à ce projet. Koechlin esquisse alors une sorte de «  grand pylône formé de quatre poutres en treillis, écartées à la base, se rejoignant au sommet et liées entre elles par des poutres métalliques disposées à intervalles réguliers  » (Bertrand Lemoine). Le premier dessin de Maurice Koechlin superpose les contours de Notre-Dame de Paris, la statue de la Liberté, trois colonnes Vendôme, l’Arc de Triomphe et un immeuble de six étages. Gustave Eiffel , qui se montre indifférent à l’avant-projet, donne toutefois l’autorisation à ses ingénieurs d’en poursuivre l’étude. Grâce à l’aide de l’architecte Stephen Sauvestre, la Tour abandonne peu à peu son aspect schématique et industriel pour adopter sa silhouette actuelle, avec ses arcs monumentaux ajourés qui confèrent de l’élégance à l’édifice.

🇫🇷 #IlétaituneTour 🗞️ Aujourd'hui, je vous propose un voyage dans le temps avec cette photo de mon sommet prise à deux époques différentes : l'une en 1900, l'autre en 2020 👇 #tourEiffel #EiffelTower pic.twitter.com/GQlueeEgK9 — La tour Eiffel (@LaTourEiffel) November 24, 2020

Finalement, Eiffel, «  revenant sur la décision qu’il avait prise de ne pas s’intéresser à l’affaire, mit son nom de constructeur sous celui de ses ingénieurs et passa avec eux un contrat  » (Maurice Koechlin,  Résumé historique de la Tour Eiffel , 1939). Le 18 septembre, Eiffel en dépose le brevet avec ses ingénieurs, puis le 12 décembre, il le rachète à Nouguier et Koechlin. Le projet est présenté dans l’exposition des Arts décoratifs à l’automne au palais de l’Industrie, et dès lors le débat devient public.

La Tour au cœur des débats

Des projets contradictoires se développent. Le seul susceptible d’être retenu est celui de Jules Bourdais, ingénieur et architecte, auteur avec Gabriel Davioud du palais du Trocadéro de l’Exposition universelle de 1878. Il propose un noyau en maçonnerie, entouré de galeries superposées et de colonnettes en fonte. La base triangulaire de cette «  colonne soleil  » de 370 m dépasserait la hauteur des tours de Notre-Dame et recevrait le musée de l’ Électricité . Cependant, Bourdais néglige totalement le poids énorme du monument, les gigantesques travaux de fondation nécessaires, son instabilité et sa résistance au vent ; le devis est démesuré. Les grandes revues d’architecture prennent rapidement position : Gustave Planat, directeur de «  La Construction moderne  » est farouchement contre la Tour, tandis que «  Le Génie civil  » se réjouit de la modernité de l’objet ; ainsi le débat ingénieur-architecte commence à se faire jour. En effet, avec les grands travaux d’ Haussmann , l’industrie symbolisée par les constructions métalliques est bannie de Paris, hormis les Halles de Baltard et les gares . Le fer est alors considéré comme vulgaire et, installé de façon si spectaculaire, ce matériau peut déconcerter plus d’un esprit.

Convention conclue le 8 janvier 1887 entre l'État, représenté par le ministre du commerce et de l’industrie Édouard Lockroy, la ville de Paris, représentée par le préfet de la Seine Eugène Poubelle, et Gustave Eiffel, relative à l’emplacement et aux modalités de construction et d’exploitation de la «Tour de 300 mètres » ©Archives Nationales

Convention conclue le 8 janvier 1887 entre l’État, représenté par le ministre du commerce et de l’industrie Édouard Lockroy, la ville de Paris, représentée par le préfet de la Seine Eugène Poubelle, et Gustave Eiffel, relative à l’emplacement et aux modalités de construction et d’exploitation de la «Tour de 300 mètres » ©Archives Nationales

Le 30 mars 1885, Eiffel présente à la Société des ingénieurs civils un mémoire intitulé Tour en fer de 300 m de hauteur destinée à l’Exposition de 1889. Il en donne les caractéristiques principales : un prix estimé à 3 155 000 francs (il sera multiplié par deux fois et demie), un poids de 4 800 tonnes (ce sera 7 300 tonnes), des travaux d’une durée de 26 mois (absolument respectée). Il hésite encore entre le fer et l’acier, mais il a la certitude absolue que l’usage de la maçonnerie, comme le conçoit Jules Bourdais, rend l’exécution impossible. Son argumentation est renforcée par les difficultés rencontrées lors de l’érection de l’obélisque de Washington, tout en pierre, commencée en 1848 et culminant seulement à 169 mètres. Eiffel souligne également les applications scientifiques que la Tour apporterait aux sciences de l’aérodynamique, de la météorologie, de l’astronomie et des communications sans fil, dont les recherches débutent, sans compter l’avantage incomparable qu’elle donnerait aux armées, dans cette période encore marquée par la perte de l’Alsace et de la Lorraine. L’année 1886 est celle des décisions définitives. Après avoir longuement hésité sur le lieu de l’Exposition, le Champ-de-Mars est choisi, comme cela avait déjà été le cas en 1867 et 1878.

Cent sept concurrents

Le 1er mai, le «  Journal Officiel  » publie le règlement du concours d’architecture, dont l’article 9 impose la présence de la Tour. Cent sept concurrents y participent, et leurs projets sont exposés à l’Hôtel de Ville du 22 au 25 mai. La plupart ont traité la Tour comme un objet à part, en respectant la forme générale et le décor d’Eiffel, sans guère de rapport avec les palais des Beaux-Arts et des Arts libéraux qui figurent au programme. Certains proposent de l’installer à cheval sur le pont des Invalides ou le pont d’Iéna, tel le Colosse de Rhodes, ou de la placer sur la butte du Trocadéro.

Le Palais du Trocadéro vu de la Tour Eiffel, carte postale ancienne.

Le Palais du Trocadéro vu de la Tour Eiffel, carte postale ancienne.

En juillet 1886, les trois lauréats, Ferdinand Dutert, Jean Camille Formigé et Gustave Eiffel sont chargés d’élaborer le projet final. Le 5 août, le conseil des travaux décide de l’emplacement de la Tour, à l’extrémité du Champ-de-Mars, face au pont d’Iéna. Le 8 janvier 1887, une convention est signée entre Édouard Lockroy, représentant de l’État, Eugène Poubelle, préfet de la Seine, et Gustave Eiffel, agissant en son nom propre et non pas en celui de son entreprise. La convention stipule que «  pour le prix des travaux, il est accordé en paiement à M. Eiffel une somme de quinze cent mille francs et la jouissance de l’exploitation de la Tour pendant l’année de l’Exposition et pendant les vingt années qui suivront à dater du premier janvier 1890  ». La Ville est alors propriétaire de la Tour. En 1910, cette jouissance est prolongée de soixante-dix ans, puis reprise en 1980 par la Société nouvelle d’exploitation de la Tour Eiffel (aujourd’hui Société d’exploitation de la Tour Eiffel), dans laquelle la Ville de Paris est majoritaire.

Un gigantesque meccano

Le 1er janvier 1887, Eiffel prend possession du grand carré de sable du Champ-de-Mars, d’où va s’élancer, face au Trocadéro, la vertigineuse construction. Les sondages font apparaître un terrain infiltré d’eau du côté de la Seine. Ceci nécessite la pose, en dessous du lit de la rivière, de caissons métalliques étanches, à air comprimé, dans lesquels travaillent les ouvriers pour réaliser la maçonnerie ; un procédé déjà utilisé en 1857 par Eiffel pour le pont de Bordeaux, son premier grand ouvrage d’art. «  Chacune des quatre arêtes de chaque pilier a son propre massif de maçonnerie, mesurant environ 5 mètres par 10 de côté, lié aux autres par des murs. Le sol n’a ainsi à supporter qu’un effort limité à 3 ou 4 kilos par centimètre carré, soit la pression exercée par un individu assis sur une chaise.  » (Bertrand Lemoine) Les travaux de fondation prennent fin le 30 juin.

Photographies d'archives montrant les étapes de la construction de la Tour, 1887-1889

Photographies d’archives montrant les étapes de la construction de la Tour, 1887-1889

Le montage de la partie métallique suscite l’admiration de la foule des badauds qui observe cette prodigieuse aventure. En effet, la Tour s’élève dans le ciel parisien quasi mathématiquement, tel un gigantesque meccano. Tous les éléments, venus des métallurgies de Lorraine, sont préparés dans les ateliers de Levallois-Perret, dont Maurice Koechlin dirige de main de maître le bureau d’études, qui élabore plus de 1 700 dessins d’ensemble pour le montage, tandis que le bureau de détail fournit 3 269 études et précise les formes de plus de 18 038 pièces différentes. Sur le chantier, l’intervention humaine est réduite : jamais plus de 250 ouvriers, parmi lesquels 189 permanents, en majorité des charpentiers et des riveurs, qui travaillent dans des conditions acrobatiques. Leurs noms sont inscrits sur la Tour. On déplore trois accidents, dont un seul mortel, celui d’Angelo Scagliotti, tombé du premier étage en 1889 après la fin des travaux. Pour monter les matériaux, des grues à vapeur sont installées dans les glissières prévues pour les ascenseurs à l’intérieur des piliers, et progressent en même temps que la Tour. Sur place, les poutrelles préalablement percées sont assemblées au moyen de rivets posés à chaud. En se refroidissant, ils se contractent, ce qui assure le serrage des pièces les unes aux autres.

Caricature de Gustave Eiffel parue suite à la protestation des artistes, publiée dans Le Temps, le 14 février 1887.

Caricature de Gustave Eiffel parue suite à la protestation des artistes, publiée dans Le Temps , le 14 février 1887.

Divers pamphlets et articles sont publiés tout au long de l’année 1886. Les travaux ont à peine commencé que paraît le 14 février 1887 dans le journal «  Le Temps  » la fameuse «  Protestation des artistes  ». Les travaux se poursuivent malgré tout et en dépit des mouvements de grève sporadiques en septembre et en décembre 1888. En mars 1888, le premier étage est atteint, puis en juillet 1888, le deuxième. Le montage est terminé le 31 mars 1889, comme prévu.

Un monument reconnu

Du 15 mai au 6 novembre 1889, pendant l’Exposition universelle, la Tour reçoit 1 953 122 visiteurs, soit une moyenne de 11 800 par jour. Les recettes, s’élevant à 6 509 901 francs et 80 centimes, couvrent déjà presque le coût de la construction : 7 457 000 francs. La différence est vite comblée après la fin de l’Exposition. Ainsi, le succès est flagrant, mais en 1894, alors que se prépare l’Exposition universelle de 1900, le sort de la Tour n’est pas encore fixé. La commission supérieure indique dans le programme du concours que les architectes sont libres de la transformer, la détruire ou la conserver. Bien qu’une série de projets soit alors proposée, la Tour reste en l’état et s’impose finalement encore comme une grande attraction en 1900 puis, au fil du temps, elle devient le monument le plus visité de Paris.

Marc Riboud, Le peintre de la Tour Eiffel, 1953

Marc Riboud, Le peintre de la Tour Eiffel, 1953

Cette éclatante reconnaissance par le public n’aurait pourtant pas suffi à la sauver sans la démonstration de son intérêt pratique et scientifique ; une exploitation qui suit les progrès technologiques de l’époque. Pour connaître les effets du vent sur la Tour, Eiffel étudie la météorologie et perfectionne les systèmes de relevé et d’acquisition de données sur la résistance de l’air. Désireux de participer aux recherches liées au développement de l’aviation, Gustave Eiffel élève en 1909 au Champ-de-Mars un laboratoire d’aérodynamique. Il fonctionne pendant deux ans, fournissant entre 4 000 et 5 000 résultats d’expériences, en particulier sur les ailes et les hélices d’avions.

En outre, la Tour Eiffel devient un précieux support d’antenne. En 1905, la télégraphie sans fil y est installée au sommet. À partir de 1908, c’est le premier poste de France, permettant de correspondre avec le Maroc, la Russie et plus tard l’Amérique. Enfin, elle rend de nombreux services durant la Première Guerre mondiale, comme l’explique Eiffel : «  Sans entrer dans les détails des services, au point de vue exclusivement militaire, que la Tour a rendu pendant ces années de guerre, on peut affirmer que son rôle a été considérable et notamment au cours de la première bataille de la Marne […]. Les cryptogrammes ennemis eux-mêmes, dont le chiffre était inconnu, ne lui ont pas échappé et tous ont été déchiffrés.  » Eiffel souligne également le rôle essentiel de la Tour , choisie en 1912 comme «  centre d’émission des signaux horaires de l’univers entier  », et son importance dans l’envoi des indications météorologiques pour les six stations les plus importantes dans le monde. Ainsi la Tour s’est-elle imposée pour ses fonctions scientifiques, non pour son statut d’œuvre d’art, reconnu plus tardivement.

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La tour Eiffel, un symbole français et haut lieu touristique depuis 1889

Gustave Eiffel est mort il y a 100 ans, le 27 décembre 1923. Célèbre pour ses constructions innovantes, l’ingénieur a laissé son empreinte dans le monde entier. Parmi ses œuvres les plus emblématiques, la tour Eiffel bien-sûr. Depuis sa construction en 1889, le monument a accueilli des centaines de millions de visiteurs.

Gustave Eiffel est mort le 27 décembre 1923. Célèbre pour ses constructions innovantes, l’ingénieur a laissé son empreinte dans le monde entier. Parmi ses œuvres les plus emblématiques, la tour Eiffel bien-sûr. Depuis sa construction en 1889, le monument a accueilli des centaines de millions de visiteurs. Et 100 ans après la mort de Gustave Eiffel, la file d’attente du monument parisien ne désemplit pas.

La « Dame de fer » attire les foules depuis toujours. C’est l’un des monuments payants les plus visités au monde. Avec ses 330 mètres de hauteur, ses 10 000 tonnes d’acier et ses 1665 marches, la tour Eiffel fascine.

Au fil des années, la tour Eiffel est devenue une fierté nationale et un symbole aux yeux du monde. Résultat, depuis les années 50, le nombre de visiteurs n’a cessé de grimper. La barre des cinq millions a été franchie à la fin des années 80. Depuis, les touristes sont chaque année de plus en plus nombreux. Le record est atteint en 2011. Cette année-là plus de sept millions de personnes ont visité le monument. Ces dernières années, après une chute de la fréquentation à cause des attentats et du Covid, la « Dame de fer » a repris des couleurs avec 5,9 millions de visiteurs en 2022.

Sourire retrouvé aussi du côté de la société d’exploitation. En 2022, elle a généré 59 millions de chiffre d'affaires.

D'autres contenus sur la tour Eiffel sont disponibles sur INA.fr

Qui aurait cru qu'il se passait autant de choses au premier étage de la tour Eiffel ? De jeunes mariés font la noce, la progéniture du couple débarque du futur et un chasseur poursuit une autruche. Un ballet délirant et un brin psychédélique, où surréalisme et humour grinçant se mêlent avec délices pour fustiger les mœurs bourgeoises, sur une mise en scène de Jean-Christophe Averty.

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Paris Les Halles

La Tour Eiffel : une merveille haute de la tête aux pieds

La Tour Eiffel demeure indéniablement l’un des monuments les plus emblématiques et renommés de Paris, voire du monde entier. Surplombant majestueusement la ville, elle offre un panorama exceptionnel et attire chaque année des millions de visiteurs venus contempler sa splendeur et son raffinement. Mais connaissez-vous réellement la hauteur de cet imposant chef-d’œuvre de fer ? Dans cet article, nous plongerons dans les détails des chiffres qui illustrent la grandeur de la Tour Eiffel.

Une hauteur impressionnante

Pour débuter, notez que la hauteur de la Tour Eiffel s’élève à 324 mètres , ce qui la place quasiment au même niveau que les gratte-ciel de la Défense. Cette mesure en fait la structure la plus haute de Paris, surpassant de loin la Basilique du Sacré-Cœur (83 mètres) ainsi que la Cathédrale Notre-Dame de Paris (69 mètres). Pour donner un point de comparaison, il faudrait superposer près de quatre Arcs de Triomphe (mesurant chacun 50 mètres) afin d’atteindre la même taille que celle de la tour !

Mesure depuis le sol ou depuis le niveau de la mer ?

Lorsqu’on parle de la hauteur de la Tour Eiffel, on fait généralement référence à la distance entre le sol et le sommet de l’antenne. Toutefois, si l’on mesurait cette hauteur depuis le niveau de la mer, on obtiendrait alors un chiffre légèrement différent. En effet, Paris se situe à environ 33 mètres au-dessus du niveau de la mer, ce qui signifie que le sommet de la tour culmine en réalité à 357 mètres d’altitude.

Des variations de hauteur

Il est intéressant de noter que la hauteur de la Tour Eiffel peut varier en fonction de divers facteurs, tels que la température ou les conditions météorologiques. Par exemple, lorsqu’il fait chaud, les métaux de la structure ont tendance à se dilater et à s’allonger, ce qui peut entraîner une augmentation de la hauteur totale de la tour. À l’inverse, lorsque les températures sont basses, les métaux se contractent et la tour peut perdre quelques centimètres.

Une différence de taille selon les saisons

En moyenne, on estime que la hauteur de la Tour Eiffel peut varier de 15 centimètres entre l’hiver et l’été . Ces fluctuations sont toutefois si minimes par rapport à la taille totale de la structure qu’elles restent pratiquement imperceptibles pour les visiteurs. De plus, les équipes chargées de l’entretien de la tour prennent régulièrement des mesures pour s’assurer que ces variations n’affectent pas la stabilité ou la sécurité de l’édifice.

L’ascension de la Tour Eiffel

Si vous décidez de monter à pied jusqu’au sommet de la Tour Eiffel, sachez que cela nécessitera un certain effort ! En effet, il y a en tout 1 665 marches à gravir pour atteindre le sommet de la structure. Les escaliers sont répartis sur trois niveaux, avec des paliers intermédiaires permettant de se reposer et d’admirer la vue.

Premier étage : une terrasse panoramique

Le premier étage de la tour, situé à 57 mètres du sol, offre une large terrasse panoramique offrant une vue imprenable sur Paris. Ce niveau abrite également un espace d’exposition, ainsi qu’un restaurant et des boutiques souvenirs. Pour atteindre ce palier, il vous faudra gravir 360 marches .

Deuxième étage : le cœur de la visite

Le deuxième étage, situé à 115 mètres de hauteur, est sans doute le plus fréquenté par les visiteurs. Il propose de nombreuses attractions, telles qu’un autre restaurant, des boutiques souvenirs, ou encore un cinéma en réalité virtuelle. Pour y accéder, il vous faudra monter 359 marches supplémentaires , soit un total de 719 marches depuis le sol.

Troisième étage : le sommet tant attendu

Enfin, le troisième et dernier étage de la Tour Eiffel, qui culmine à 276 mètres, offre une vue panoramique à couper le souffle sur la capitale française. Cependant, sachez qu’il n’est pas possible de monter à pied jusqu’à ce niveau : il vous faudra obligatoirement emprunter un ascenseur pour y accéder.

Un chantier titanesque

La construction de la Tour Eiffel a été un véritable défi technique et humain. Il a fallu pas moins de 2 ans, 2 mois et 5 jours pour ériger cette structure en acier, qui pèse près de 10 100 tonnes. Pas moins de 18 038 pièces métalliques ont été assemblées sur place, grâce à plus de 2,5 millions de rivets. L’édifice a nécessité l’intervention de 300 ouvriers, qui ont travaillé sans relâche pour donner vie à ce chef-d’œuvre architectural.

En somme, la hauteur de la Tour Eiffel est bien plus qu’un simple chiffre : elle symbolise le génie humain et l’audace d’une époque, et continue d’émerveiller les visiteurs du monde entier. Alors, lors de votre prochaine visite à Paris, n’hésitez pas à lever les yeux vers le ciel pour admirer cette merveilleuse géante de fer !

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quelle hauteur tour eiffel

Quelle est la hauteur de la Tour Eiffel ?

undefined 9 février 2024 undefined 14h00

Auriane Camus

Vous vous demandez quelle taille fait notre belle Dame de fer construite en 1889 ? La réponse est par ici ! 

Vous ne croyez pas qu'on va vous donner la réponse aussi facilement ! La Tour Eiffel , fête en 2024 ses 135 ans. L'occasion de se remémorer quelques fun facts au sujet de la dame de fer. Pour avoir la réponse directement concernant la hauteur de la Tour Eiffel , rendez-vous au numéro 10.

10 infos à connaître sur la Tour Eiffel

1. Première info à connaître, la construction de l'édifice a débuté le 1er juillet 1887 . Elle s'est achevée 2 ans plus tard, le 31 mars 1889 .

2. Elle a été construite par Gustave Eiffel bien sûr, à l'occasion de l'Expo Universelle de 1889 qui célébrait le premier centenaire de la Révolution française. Elle n'était destinée qu'à durer seulement 20 ans. Ce sont les expériences scientifiques qui l'ont sauvé et notamment les premières transmissions radios.

3. Mitraillée de critiques à son origine, on l'appelait notamment « la girafe trouée ».

Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par La tour Eiffel (@toureiffelofficielle)

4. Aujourd'hui, la valeur estimée de la Tour Eiffel est de 434 milliards d’euros.

5. Le poids de la tour est estimé à 10 000 tonnes au total.

6. La Tour Eiffel est  le monument payant le plus couru du monde . Mais il reste devancé par trois autres sites en France en matière de fréquentation : Disneyland, Notre-Dame de Paris et Le Louvre  !

7. Il existe une cheminée au pied de la Tour Eiffel (derrière le pilier Ouest). Elle servait à alimenter les machines au moment de la construction.

8. La Tour a été repeinte  19 fois depuis sa construction et a connu près de 7 couleus différentes ! Soit 1 fois en moyenne tous les 7 ans. Depuis 1968 elle arbore le «  brun tour Eiffel  », une couleur bronze conçue et réservée à son seul usage. Elle se décline en trois tonalités, de la plus claire au sommet à la plus foncée en bas , pour assurer une perception uniforme de la teinte ! Depuis 2019, une campagne de peinture vise à lui faire retrouver une teinte « jaune brun » qu’elle avait déjà portée entre 1907 et 1953.

9. Jusqu'en 2000 il y avait u n petit wagon sur rails qui transportait le phare de la tour et tournait autour du sommet pour éclairer Paris. Aujourd'hui il a été remplacé par  4 projecteurs fixes placés de chaque côté qui se relaient.

Quelle est la hauteur actuelle de la tour Eiffel ?

10.  Lors de son inauguration, la Tour Eiffel mesurait 300 mètres de haut.  Elle est restée le plus haut monument du monde pendant 42 ans jusqu’à l’achèvement du Chrysler Building à New York (319 m) en 1930. Tout au long du 20e siècle, une succession d'antennes ont été ajoutées au sommet pour les besoins de la radio et de la télé. En 1994, elle mesurait 17 mètres. En 2008 , elle atteint les 324 mètres . En mars 2022,  6 mètres ont été ajoutés avec l’installation par l’opérateur TDF d’ une nouvelle antenne pour la radio numérique . La Tour Eiffel atteint donc désormais les 330 mètres de hauteur ! Sans antennes, elle ne refait que 312 mètres.

Pour le détail, la première plateforme est à 57 mètres de haut, la seconde à 115 mètres, la troisième culmine à 276 mètres . À titre de comparaison, la tour Khalifa Dubai construite en 2009, d’une hauteur de 810 m, représente l’équivalent de 2,45 fois la Tour Eiffel. Et pour la petite anecdote, la Tour Eiffel dépasse aujourd’hui le Chrysler Building de 11 mètres  !

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Hauteur de la Tour Eiffel : quelle est sa taille exacte ?

Publié par la rédaction le 4 juin 2024, introduction.

La Tour Eiffel, monument emblématique de la ville de Paris, est l’une des attractions les plus célèbres au monde. Mais quelle est sa hauteur exacte ? C’est une question qui suscite souvent la curiosité des visiteurs et des passionnés d’architecture. Dans cet article, nous allons explorer en détail la hauteur de la Tour Eiffel, ainsi que les différentes mesures qui ont été prises au fil des années pour déterminer sa taille exacte.

La construction de la Tour Eiffel

La Tour Eiffel a été construite par l’ingénieur Gustave Eiffel pour l’Exposition universelle de Paris de 1889. Elle devait symboliser le progrès technologique et industriel de la France à cette époque. La construction de la tour a débuté en 1887 et s’est achevée en 1889.

La Tour Eiffel est entièrement en fer puddlé, un matériau qui était novateur à l’époque. Elle est composée de trois étages principaux et d’une antenne au sommet. Au total, la Tour Eiffel compte 1665 marches, mais il est également possible de prendre l’ascenseur pour accéder aux différents étages.

Les différentes hauteurs de la Tour Eiffel

La hauteur de la Tour Eiffel varie en fonction de l’inclinaison du sol sur lequel elle repose. En effet, la tour n’est pas parfaitement verticale en raison de sa structure en fer et du poids de ses éléments. De plus, la température peut également influencer sa hauteur en faisant varier la longueur des poutres métalliques.

La hauteur officielle de la Tour Eiffel, mesurée depuis le sol jusqu’à la pointe de son antenne, est de 324 mètres. Cependant, cette mesure ne tient pas compte de l’antenne, ce qui porte la hauteur totale de la tour à 330 mètres.

Les mesures précises de la hauteur de la Tour Eiffel

Au fil des années, plusieurs mesures précises ont été effectuées pour déterminer avec exactitude la hauteur de la Tour Eiffel. En 1957, une première mesure a été réalisée par l’IGN (Institut géographique national) en utilisant des techniques de topographie. Cette mesure a permis de confirmer que la hauteur de la Tour Eiffel était de 330 mètres.

En 2003, une nouvelle mesure a été réalisée par des ingénieurs de l’entreprise SETE (Société d’Exploitation de la Tour Eiffel) à l’aide de GPS. Cette mesure a confirmé la hauteur de 330 mètres de la Tour Eiffel, mais a également révélé que la hauteur variait légèrement en fonction de la température et de la pression atmosphérique.

Les variations de hauteur de la Tour Eiffel

Comme mentionné précédemment, la hauteur de la Tour Eiffel peut varier en fonction de plusieurs facteurs, tels que la température et la pression atmosphérique. En hiver, par exemple, la Tour Eiffel peut se rétrécir d’environ 15 centimètres en raison du froid. À l’inverse, en été, elle peut s’agrandir de la même manière.

Ces variations de hauteur sont dues à la dilatation et à la contraction des matériaux métalliques utilisés dans la construction de la Tour Eiffel. Malgré ces variations, la hauteur officielle de la tour reste fixée à 330 mètres.

La hauteur de la Tour Eiffel, l’un des monuments les plus célèbres au monde, est un sujet qui suscite souvent la curiosité. Avec une hauteur officielle de 330 mètres, la Tour Eiffel continue d’impressionner les visiteurs par sa taille imposante et sa silhouette reconnaissable. Malgré les variations de hauteur dues à différents facteurs, la Tour Eiffel demeure un symbole incontournable de la ville de Paris et de la France.

Note : Cet article n'est pas mis à jour régulièrement et peut contenir des informations obsolètes ainsi que des erreurs.

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La Rédaction

L'Équipe de Rédaction est composée de rédacteurs indépendants sélectionnés pour leur capacité à communiquer des informations complexes de manière claire et utile.

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Tour eiffel : taille, poids, prix de la visite, nombre de marches….

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La Tour Eiffel est le symbole par excellence de Paris, et plus largement, de la France.

Aussi appelée « Dame de Fer » en clin d’oeil à son imposante structure de fer, la Tour Eiffel est le monument le plus visité du monde.

Un peu plus de 7 millions de visiteurs s’y pressent chaque année mais, malgré cet engouement, très peu de personnes connaissent ses secrets.

Pour y remédier, l’équipe de Combien.io vous dit tout de la Tour Eiffel dans cet article : combien de mètres elle mesure, quel est son poids, combien de marches elle compte, le nombre d’années qui ont été nécessaires à sa construction, le prix que vous coûtera une visite…

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Combien mesure la Tour Eiffel ?

Au total, la Tour Eiffel mesure 324 mètres . Ces 324 mètres sont répartis de la manière suivante :

  • 1er étage : 57,63 mètres
  • 2ème étage : 115,75 mètres
  • 3ème étage : 276,13 mètres

Au-delà du troisième étage se trouve l’antenne, qui culmine donc à une hauteur de 324 mètres, comme le montre l’image ci-dessous.

La Tour Eiffel en chiffres

C’est en 1884 que Émile Nouguier et Maurice Koechlin, les deux principaux ingénieurs de l’entreprise Eiffel, ont l’idée de cette tour géante.

En 1887, après 3 ans d’études, la construction de la Tour Eiffel commence. Tous les éléments de la structure sont préparés dans une usine située à Levallois-Perret.

Après 2 ans, 2 mois et 5 jours de travaux, la Tour Eiffel est enfin ouverte au public le 31 mars 1889 à l’occasion de l’Exposition Universelle.

C’est le nombre de pièces métalliques qui composent la Tour Eiffel. 2 500 000 rivets ont été nécessaires pour fixer ces pièces et ainsi faire naître la Tour Eiffel.

7300 tonnes de fer composent la Tour Eiffel. S’ajoute à cela 60 tonnes de peinture, en sachant que la Tour Eiffel est repeinte tous les 7 ans.

C’est le nombre de marche qu’il faudra monter pour grimper du sol au sommet de la Tour Eiffel. Si vous n’avez pas le courage de monter les marches, sachez qu’il existe également 5 ascenseurs.

7 800 000 Francs en or. C’est le coût de la Tour Eiffel à son ouverture en 1889.

Le nombre d’ampoules qui sont utilisées pour illuminer la Dame de Fer. À savoir : un peu plus de 100 différents modèles d’ampoules sont utilisés !

80 kilomètres de cables électriques composent la Tour Eiffel pour lui permettre de fonctionner jour et nuit.

Combien pèse la Tour Eiffel ?

Pour calculer le poids de la Tour Eiffel , il faut prendre en compte différents éléments :

  • le poids de la structure métallique : 7 300 tonnes ;
  • le poids des ascenseurs : 1000 tonnes ;
  • le poids des installations diverses et des plateformes : 1750 tonnes ;
  • le poids des maçonneries et autres fondations : 500 tonnes

Soit un poids total de 10 100 tonnes ! Pour soutenir un tel poids, l’un des nombreux défis de Gustave Eiffel (le fondateur de la Tour Eiffel) a été de s’assurer que la pression au sol ne soit pas trop importante.

Combien de marches d’escalier compte la Tour Eiffel ?

tour eiffel nombre marches

La Tour Eiffel est un monument emblématique de Paris. Nul ne saurait visiter la capitale française sans faire un détour du côté de la Dame de Fer.

Dès les études réalisées dans le cadre de la construction de cet édifice, les constructeurs se sont penchés sur la question de l’accès. À l’origine, des ascenseurs avaient été pensés. Malgré tout, la nécessité de mettre en place des escaliers s’est imposée, ceux-ci s’avèreraient notamment utiles en cas d’urgence.

C’est ainsi que la Tour Eiffel a hérité de 5 escaliers : un pour chaque pilier partant du rez-de-chaussée et menant vers le second étage et un qui relie le deuxième étage au sommet de l’édifice.

Le nombre de marches d’escalier de la Tour Eiffel

Pour passer du rez-de-chaussée de la Tour Eiffel vers le second étage, il faut compter 720 marches . Et pour atteindre le niveau ultime, il faut compter 20 marches supplémentaires.

Combien de temps a pris la construction de la Tour Eiffel ?

La Tour Eiffel est l’un des monuments les plus visités dans le monde. Nous vous avons récemment parlé du poids de la Tour Eiffel, et de sa taille.

Une autre question que beaucoup de personnes se posent est :

Combien de temps est-ce que la construction de la Tour Eiffel a duré ?

Nommée du nom de son fondateur, Gustave Eiffel, la Tour Eiffel est la plus haute structure à Paris. Construite initialement comme une structure temporaireà l’occasion de l’Exposition Universelle, la construction de la Tour Eiffel a nécessité l’intervention de plus de 300 ouvriers.

Durée de la construction

La construction de la Tour Eiffel a commencé en 1887 et s’est terminée en 1889. Elle a donc pris 2 ans . L’ouverture au public s’est fait le 6 mai en l’année 1889.

Combien coûte une visite de la Tour Eiffel ?

tour-eiffel vue d'en haut

Vous souhaitez visiter la Tour Eiffel , le monument emblématique de Paris, et vous vous demandez quel est le prix d’un billet pour visiter la Tour Eiffel ?

Le prix d’une entrée à la Tour Eiffel dépend de plusieurs critères que nous allons détailler ci-dessous.

Le prix d’une visite de la Tour Eiffel

Voici les différents tarifs pour visiter la Tour Eiffel.

Acheter un billet pour la Tour Eiffel

Il est possible d’acheter un billet pour visiter la Tour Eiffel en ligne, sur le site internet de la Tour Eiffel .

Cela vous donne accès à un billet électronique, que vous allez pouvoir enregistrer sur votre smartphone ou imprimer, et ainsi vous pourrez éviter la queue pour acheter un billet directement sur place.

À savoir : sur le site internet, une entrée à la Tour Eiffel peut s’acheter au plus tard la veille de la visite

Si vous n’avez pas eu le temps d’ acheter votre entrée en ligne , sachez qu’il est également possible de l’acheter sur place en vous présentant aux caisses individuelles situées en bas de la Tour Eiffel.

À savoir :  il n’y a pas d’âge minimum pour visiter la Tour Eiffel. Vous pourrez donc profiter de votre ascension avec vos bambins, quels que soient leurs âges.

Le prix du restaurant de la Tour Eiffel

La Tour Eiffel compte plusieurs restaurants : le 58 Tour Eiffel au 1er étage, Le Jules Verne au 2ème étage, un bar à champagne au 3ème étage, et plusieurs buffets proposant une restauration sur le pouce.

Prix du restaurant 58 Tour Eiffel

58 tour-eiffel prix

Pour dîner au restaurant 58 Tour Eiffel, plusieurs offres sont proposées. Le billet d’entrée est bien évidemment compris.

Il faut compter entre 85€ et 180€ par personne, pour un menu comprenant apéritif, entrée, plat et dessert.

Prix du restaurant Le Jules Vernes

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Situé au deuxième étage de la Tour Eiffel, le Jules Vernes est le restaurant d’Alain Ducasse.

Il faut compter 105€ pour un menu déjeuner en semaine, et entre 190€ et 230€ pour un dîner, avec la formule Excellence.

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1 commentaire.

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Juste une rectification… « Pour passer du rez-de-chaussée de la Tour Eiffel vers le second étage, il faut compter 720 marches. Et pour atteindre le niveau ultime, il faut compter 20 marches supplémentaires. »

Ce que vous nommez « le niveau ultime » est le second niveau du 2ème étage (en effet, le second et le troisième étage comptent deux niveaux chacun). Mais il reste encore un étage à la tour, et pas des moindres question hauteur puisqu’il faut grimper 1665 marches pour y accéder! Même s’il n’est plus possible à notre époque de monter du second au troisième étage par les escaliers.

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Explorez la France

Guide complet pour visiter la Tour Eiffel

Vous organisez votre prochaine visite de la Tour Eiffel ? C’est une excellente idée ! Vous vous posez beaucoup de questions pour la préparation de votre visite, vous êtes curieux d’en savoir plus sur cette tour qui compte parmi les monuments les plus connus du monde ? Dans cet article, nous faisons le tour des questions sur ce monument symbole de la capitale française ! Vous pourrez ainsi préparer votre visite et mieux connaître cette tour au charme indéniable, en ayant la réponse aux questions les plus posées.

Quand et pourquoi la Tour Eiffel a-t-elle été construite ?

Construite à l’occasion de l’Exposition Universelle de 1889, la Tour Eiffel est devenue l’un des symboles de Paris dans le monde entier. La construction de la tour a démarré le 26 janvier 1887 sous la direction de l’ingénieur Gustave Eiffel. Après deux ans, deux mois et 5 jours de travaux, et la réalisation d’une véritable prouesse technique, le public a fait la découverte de ce monument le 31 mars 1889, lors de l’Exposition Universelle.

Quelle est la hauteur de la Tour Eiffel ?

La Tour Eiffel mesure 324 mètres de hauteur, ses antennes comprises. La hauteur initiale sans les antennes s’élevait à 312 mètres. Le 1er étage atteint 57 mètres, le 2e étage se situe à 115 mètres, enfin le 3e étage culmine à 276 mètres. Un fait curieux : saviez-vous que la hauteur de la Tour Eiffel peut varier selon la température ? En effet, elle peut varier de +/- 15 cm, car le fer qui compose la structure de la Tour est sensible aux variations thermiques et donc à la dilatation, mais aussi à la contraction thermique.

Combien pèse la Tour Eiffel ?

Ses courbes nous donnent une impression de légèreté… et pourtant, la charpente métallique de la Tour Eiffel pèse 7 300 tonnes, pour un poids total de 10 100 tonnes !

Quelle est l’adresse complète de la Tour Eiffel ?

Voici l’adresse complète pour vous rendre à la Tour Eiffel : Champ de Mars, 5 Avenue Anatole France, 75007 Paris.

Combien de personnes visitent la Tour Eiffel chaque année ?

La Tour Eiffel est un monument emblématique de Paris, il n’est donc pas étonnant que les visiteurs se pressent d’y monter. Il s’agit d’un des monuments payants les plus visités au monde : 7 millions de visiteurs y viennent chaque année. Pour une visite fluide et sans encombre, nous vous donnons quelques pistes pour organiser votre visite de la Tour Eiffel bien en avance !

Comment aller à la Tour Eiffel en métro et en RER ?

La Tour Eiffel est facilement accessible en transports en commun. Vous pouvez y arriver en métro, en empruntant la ligne 6 et en descendant aux stations Trocadéro ou Bir-Hakeim, ou encore en prenant la ligne 9, qui s’arrête également à la station Trocadéro, ou encore à la ligne 8 avec un arrêt à la station École Militaire. Vous pouvez aussi prendre le RER C, en descendant à la station Champ-de-Mars/Tour Eiffel.

Quelles lignes de bus desservent la Tour Eiffel ?

La Tour Eiffel est desservie par plusieurs lignes de bus. Empruntez les lignes 30, 69, 82, 86, 87 et 72. Pour visiter la Dame de Fer, descendez aux arrêts Tour Eiffel, Champ de Mars, Montessuy ou Pont Iena. Les arrêts sont toujours à quelques minutes à pied de la Tour.

Je cherche un moyen de transport original pour emmener mon âme sœur à la Tour Eiffel, lequel choisir ?

Nous vous proposons de rejoindre la Tour Eiffel en batobus, pour conjuguer une visite de la Tour à une promenade romantique et intimiste de la Seine ! L’expérience sera d’autant plus inoubliable.

Quels sont les parkings disponibles pour se garer au plus proche de la Tour Eiffel ?

Si vous venez en voiture, l’idéal est de se garer au parking du musée du quai Branly . Nous vous conseillons de réserver une place à l’avance pour profiter de ce parking à seulement 5 minutes de distance de la tour Eiffel en toute sérénité.

Comment visiter la Tour Eiffel ?

C’est vous qui décidez le parcours de votre visite. Selon le temps dont vous disposez et votre envie, vous pouvez choisir de visiter le 1er et 2e étage, ou encore poursuivre votre visite jusqu’au sommet. Selon votre condition physique et votre budget, pour accéder au 2e étage, vous avez le choix entre l’accès par les escaliers et l’accès par l’ascenseur.

Si vous choisissez de monter à pied, il est possible de monter jusqu’au 2e étage, mais pas plus. Pour celles et ceux qui veulent monter jusqu’au sommet, il y a une seule option : prendre les ascenseurs ! En effet, les escaliers jusqu’au sommet existent, mais ils sont réservés exclusivement aux situations d’urgence.

Combien de marches pour monter sur la Tour Eiffel ?

Pour celles et ceux qui souhaitent faire la montée à pied, 400 marches vous attendent pour arriver au 1er étage. Pour atteindre le 2e étage, il faut compter entre 30 et 45 minutes de montée, soit un total de plus de 700 marches. La montée par les escaliers n’est évidemment pas conseillée si vous visitez la Tour Eiffel avec de très jeunes enfants ou bébés, ou encore avec des personnes en mauvaise condition physique.

En fonction de la météo, l’accès aux escaliers peut être fermé. Les avantages de la montée par les escaliers ? C’est un choix économique qui vous permettra de garder la ligne et de faire le plein de frissons ! Soyez sans craintes, nous pouvons vous garantir que l’effort consenti sera largement récompensé par la magnifique vue que vous offrira la Dame de fer sur la ville de Paris et ses monuments.

Comment se passe la visite jusqu’au 2e étage par ascenseur ?

C’est la façon la plus classique de découvrir la Tour Eiffel sans effort. Nous vous conseillons de réserver les tickets à l’avance afin de gagner du temps et d’éviter la queue. La vue du 2e étage est imprenable : la capitale française se montre à 360 degrés sous vos pieds.

Vaut-il la peine de monter jusqu’au sommet ?

La visite du sommet, soit le 3e étage de la Tour, est une expérience à vivre quand le ciel est dégagé. La sensation pendant la montée est frappante, la vue est spectaculaire. Pour atteindre le sommet, il faut prendre l’ascenseur au 2e étage.

Quel est le meilleur moment pour visiter la Tour Eiffel ?

La fin de la semaine est le moment le plus chargé en visites. Les vacances scolaires, les jours fériés et les périodes de la haute saison sont celles où il y a le plus d’affluence. Les jours de plus faible affluence sont les mardi, mercredi et jeudi hors ces périodes particulières. Pendant la journée, il y a plus d’affluence en milieu de journée. Si vous souhaitez l’éviter, vous pouvez faire votre visite tôt dans la matinée, soit avant 10 h 30 ou bien plutôt en fin de journée, après 17 h, ou en soirée. N’oubliez pas d’acheter votre ticket ou votre visite guidée en avance.

Est-il possible de visiter la Tour Eiffel sans faire la queue ?

Même s’il n’existe pas de billet « coupe-file », en achetant votre e-billet à l’avance via la billetterie en ligne, vous éviterez la queue aux caisses. En achetant un e-billet horodaté sur Internet, vous aurez aussi de meilleurs tarifs pour accéder au sommet. Saviez-vous qu’il est possible d’acheter ses billets jusqu’à 2 mois en avance ? C’est une solution parfaite pour préparer une visite pendant les mois d’été, qui sont souvent les plus chargés. Et si l’envie de visiter la Tour vous prend soudainement, vous pouvez acheter des e-billets pour une visite le jour même, ou encore si vous êtes sur place, dans les 30 minutes suivant, s’il y a des disponibilités.

Est-ce que les billets sont nominatifs ?

Oui, pour cela, il faut bien renseigner les noms des participants et prendre les pièces d’identité de chacun avec soi lors de la visite. Les pièces d’identité des enfants sont aussi nécessaires. Des justificatifs de tarif réduit peuvent être demandés, comme dans le cas du handicap.

Est-ce que le e-billet est modifiable ?

Malheureusement, une fois réservés, les e-billets ne sont plus modifiables. Il est aussi impossible de les échanger. Pour cette raison, avant de valider votre achat, prêtez attention de vérifier la date et l’horaire choisis, car tout achat est définitif.

À quoi faire attention lors de la visite à la Tour Eiffel ?

Dès votre arrivée sur ce lieu emblématique, il est nécessaire de toujours garder un œil sur vos affaires. En effet, vous risquez de recevoir de nombreuses sollicitations, comme des fausses pétitions, vous faire aborder par des joueurs de bonneteau et autres jeux d’argent dans la rue. Si des personnes vous proposent de vous prendre en photo avec votre smartphone ou appareil photo de valeur, nous vous recommandons de ne pas l’accepter. Attention également aux pickpockets qui peuvent survenir tant dans les alentours du monument qu’aux étages. Pendant toute la durée de la visite, surveillez avec attention vos effets personnels.

Quel monument voit-on de la Tour Eiffel ?

Avec son panorama époustouflant à 360 degrés, vous aurez la chance d’admirer le Champ de Mars, l’École Militaire, la Tour Montparnasse, ou encore le dôme des Invalides.

Est-il possible de manger à la Tour Eiffel ?

La réponse est oui, vous pourrez bien sûr vous restaurer sur la Tour Eiffel, et même avoir un excellent choix de restauration. Plusieurs buffets présents sur le parvis, au premier et au second étage, permettront de satisfaire tous les goûts et tous les appétits. Au premier étage, le restaurant 58 vous émerveillera avec sa cuisine raffinée et sa magnifique vue donnant sur le Trocadéro et le Palais Chaillot. Au deuxième étage, le restaurant Le Jules Verne est un restaurant étoilé qui vous promet un voyage gastronomique d’exception. Au sommet, on retrouve le bar à Champagne pour accompagner avec des bulles pétillantes le spectacle de la ville de Paris qui s’offre à vous. On vous proposera également des boissons sans alcool, du caviar et des macarons.

La Tour Eiffel est-elle accessible aux personnes à mobilité réduite ?

Oui, les personnes à mobilité réduite peuvent accéder à la Tour Eiffel par les ascenseurs au premier et au deuxième étage, seul le sommet ne leur est pas accessible.

Quels sont les horaires d’ouverture de la Tour Eiffel ?

Les ascenseurs ainsi que les escaliers sont accessibles de 9 h 30 jusqu’à 22 h 45. La Tour Eiffel nécessitant des travaux de rénovation et de maintenance annuels, il se pourrait qu’il y ait des changements au niveau des horaires. Vérifiez les horaires sur le site officiel pour en être certain.

Est-il possible de visiter la Tour Eiffel la nuit ?

Il est possible de visiter la tour Eiffel jusqu’à 22 h 45 au plus tard : la fermeture de la Tour se fait à 23 h 45. Une visite de nuit est une expérience inoubliable, une nouvelle façon d’admirer la Ville Lumière !

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Bandeau tour Eiffel

  • Tour Eiffel
  • Construction
  • Les piliers

FR

  • Inauguration

Propriétaire

Inscription

Situation : Paris, France

GPS : 48° 51' 30.13'' Nord / 2° 17' 40.13'' Est

Description

Ses dimensions

  • Gustave Eiffel

Comment la visiter ?

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Autres monuments

Construction des piliers

La construction des piliers forment la seconde grande partie de la construction de la tour Eiffel, la première étant les fondations. Ces fondations cachent 4 massifs sur lesquels prennent appuis les arbalétriers, points de départ de la structure métallique. Mais ce point de contact est assez spécial, il est décrit ci-dessous.

Appuis et vérins hydrauliques

Nous avons vu que les appuis sur lesquels doivent reposer les arbalétriers se composaient d'un sabot en fonte reposant sur la pierre de taille et d'un contre-sabot en acier moulé pénétrant dans le sabot et dans le vide intérieur de l'arbalétrier. Dans l'espace ménagé entre le sabot et le contre-sabot, on pouvait introduire un vérin hydraulique de 800 000 kg de force.

Ce vérin est représenté dans la planche VI (fig. 17 à 19). Son piston cylindrique est en fonte pleine. Son diamètre est de 0,43 m, sa hauteur, de 0,34 m. Il porte à sa partie inférieure un cuir embouti maintenu par une couronne en bronze boulonnée. Le corps du vérin lui-même est en fer forgé d'une épaisseur de 95 mm ; son diamètre extérieur est de 0,62 m et sa hauteur de 0,41 m.

La pompe qui actionne les vérins était portée sur un chariot pour la rendre transportable; elle avait une course de 6 cm; le diamètre du tuyau de refoulement était de 6 mm : on l'actionnait à bras à l'aide d'un grand levier métallique.

Avant de sortir des ateliers des constructeurs, tous les appareils avaient été essayés à une pression de 600 atmosphères, qui correspondait à un effort de 900 tonnes sur le piston.

Le contre-sabot d'un arbalétrier

Le contre-sabot d'un arbalétrier

Le contre-sabot d'un arbalétrier

Ce vérin était introduit entre les deux sabots par une ouverture ménagée sur l'une des parois; le refoulement de l'eau à sa partie inférieure permettait de faire monter de la hauteur convenable le contre-sabot portant l'arbalétrier.

Les vérins, qui étaient au nombre de deux, étaient capables de soulever simultanément deux arbalétriers, même en supposant la Tour complètement achevée. Nous avons vu, en effet, que la réaction d'un arbalétrier sous l'effet du poids propre ne dépasse pas 723 tonnes. On pouvait donc produire des efforts capables de régler les niveaux relatifs des pieds de la Tour, même après son complet montage, comme on règle un niveau ordinaire à l'aide de vis.

Le départ des piles de la tour Eiffel

Le départ des piles de la tour Eiffel

Le départ des piles de la tour Eiffel

Le départ des piles de la tour Eiffel, photo prise le 18 juillet 1887.

Photos reproduites avec l'aimable autorisation de L'Illustration.com .

Ces appuis, dont la plupart des faces étaient soigneusement dressées, ont été exécutés aux aciéries d'Imphy. Les poids et prix ont été les suivants :

  • Sabot inférieur en fonte : 5 782 Kg à 17,50 = 1 011,85
  • Contre-sabot en acier moulé : 2 551 Kg à 46,20 = 1 178,56
  • Total : 8 333 Kg à 2 190,41 francs
  • Comment il y en a 16, le prix est de 35 046,56 francs
  • Les 2 vérins et la pompe foulante avec ses raccords et ses tuyaux ont coûté : 5 250 francs

La pose de ces appuis, faite avec la plus grande précision possible, a été terminée dans le courant de juin, et le 1 er juillet on put procéder au montage de la partie métallique proprement dite.

Techniques de montage jusqu'au 2e étage

C'est le 1 er juillet 1887 que commença ce montage, qui s'effectua, au fur et à mesure des livraisons faites par l'usine, par les moyens les plus simples.

On fit usage de grandes bigues de 22 m de hauteur, qui d'abord reposaient sur le sol. Ce mode d'opérer, qui ne pouvait s'employer avec quelque avantage que pour des hauteurs restreintes, était d'autant plus applicable dans la circonstance qu'aucune des pièces à soulever ne dépassait le poids de 3 000 kg.

Nous nous étions fixé ce poids relativement faible comme une limite qui ne devait être dépassée que tout à fait exceptionnellement. Elle était en effet de nature à nous donner un montage économique et rapide; avec des pièces très lourdes, on est obligé de se servir d'engins de levage très puissants, difficiles à installer et à déplacer; toutes les installations du chantier s'en ressentent, elles deviennent plus importantes et plus coûteuses. Les risques d'accident augmentent et, s'il s'en produit, les conséquences en sont beaucoup plus graves. Il est vrai que le nombre des rivets à poser sur place augmente en raison même de la diminution de longueur des tronçons et du plus grand nombre de joints; mais cet inconvénient est très largement compensé par la facilité que procure la manœuvre de pièces relativement légères.

Les pièces arrivaient de l'usine sur des camions qui venaient se présenter sous la grue roulante placée à l'entrée du chantier. De là, elles étaient chargées sur des wagonnets qui, par quatre voies divergentes, les conduisaient à remplacement de chacune des piles. Les bigues les montaient dans leurs places respectives. Les premiers tronçons coiffant les sabots étaient étayés par des pièces de bois jusqu'à ce que les entretoisements vinssent les lier entre eux et s'opposer à leur renversement. On superposa ainsi trois tronçons successifs, dont la hauteur dépassait le milieu du premier panneau.

Avant de passer aux tronçons suivants, on mit en place toutes les pièces de liaison telles que grandes poutres horizontales des faces, treillis et pièces diagonales. Puis la position de toutes les parties de cette base était vérifiée par des mensurations rigoureuses et plusieurs fois contrôlées. Elles se faisaient à l'aide de règles construites d'après le mètre étalon qui avait servi au traçage des pièces à l'atelier. Quand on se fut assuré des positions respectives et des niveaux de toutes les pièces de cette base, on put marcher avec assurance.

Une fois les premiers tronçons placés, il était préférable d'employer des moyens moins primitifs, et c'est ce que l'on fit pour la pile 3 en installant, le 2 septembre, la première grue de montage qui nous fut livrée et dont nous parlerons en détail plus loin.

Mais comme les autres grues ne nous furent livrées que plus tardivement, le montage des autres piles se fit en grande partie avec les bigues employées pour la base, en les relevant progressivement sur des planchers portés par la construction elle-même.

Maquette du pilone de butée

Maquette du pilone de butée

Maquette du pilone de butée

Par l'un ou l'autre de ces moyens, on mit en place les tronçons successifs jusqu'à la partie supérieure du deuxième panneau ; ces tronçons étaient reliés au fur et à mesure par les pièces qui les entretoisaient, et on procédait de suite à leur rivure.

Mais comme ces tronçons étaient inclinés de 54° environ suivant le plan diagonal, il devait arriver bientôt un moment où le centre de gravité du montant tomberait en dehors de la base formée par les appuis et ferait travailler les boulons d'anerage.

Le calcul nous avait montré que l'on ne pouvait dépasser la hauteur de 28 m correspondant à l'entretoise limitant le panneau 2; cette hauteur fut atteinte le 10 octobre 1887. Le poids des pièces ainsi montées s'élevait à 900 000 Kg environ; le nombre des rivets posés à 98 000. Pour s'opposer au renversement et pouvoir continuer au delà le montage jusqu'au niveau de la première plate-forme, il était devenu nécessaire de construire des échafaudages sur lesquels devaient venir s'appuyer les trois arêtes des montants les plus rapprochées de l'axe de la Tour.

Voir aussi : Description des étages .

Pilone de butée

Ces échafaudages étaient constitués par quatre pylônes pyramidaux semblables, de telle sorte que la réaction due à l'inclinaison et qui devait s'élever pour chacun des montants à 155 tonnes environ après le montage des quatre premiers panneaux, fût supportée par ces quatre pylônes, dont deux accolés étaient placés sous l'arête médiane, et deux séparés placés sous les deux autres arêtes, ainsi que le montre le dessin de la maquette que nous avions établie.

Ces grandes réactions, dans un cas extrême, pouvaient se reporter sur deux des pylônes seulement, ce qui donnait pour chacun d'eux une charge de 80 tonnes. Pour assurer une sécurité parfaite, ils ont même été calculés pour une charge très notablement supérieure, soit 120 tonnes environ.

Leur fondation devait aussi être très solidement établie; elle nécessitait l'emploi d'un nombre convenable de pieux battus au refus. Ce nombre est de 8 par pylône, ce qui donne une charge par pieu d'environ 15 tonnes, qui se réduit dans le cas maximum de la pratique à 10 tonnes; l'ensemble des échafaudages d'un montant comportait ainsi l'emploi de 32 pieux.

Ces pieux, de 0,35 m de diamètre, avaient une fiche de 6 m de longueur pour les piles 2 et 3 et de 9 m pour les piles 1 et 4. Ils ont été battus par une sonnette à vapeur au refus de 0,10 m pour les dix derniers coups d'un mouton de 1000 Kg tombant de 1,80 m. Quelques-uns d'entre eux pour les piles 1 et 4, placés au-dessus de la déviation de l'égout, ont été remplacés par des pièces de bois descendant au niveau des maçonneries et établies au fond de fouilles spéciales.

L'échafaudage qui les surmontait (voir Planche XXV , fig. 1, 2, 3, 13 et 14) était en forme de pyramide quadrangulaire avec deux faces verticales. Sa base était de 8,50 m de côté et sa hauteur de 27,40 m. Les pièces principales étaient formées par des poutres équarries de 0,27 m de côté; elles étaient entretoisées par 7 rangées de moises de 0,25 x 0,12 m et contreventées sur les quatre faces de la pyramide par des bois de 0,22 x 0,22 m formant croix de Saint-André.

Le cube des pieux employés pour les pylônes des quatre piles a été de 85 m 3 . Celui de chaque pylône était de 23,1 m 3 , soit pour une pile 23,12 x 8 = 92,504 m 3 , et pour l'ensemble de la Tour 374 m 3 y compris le plancher reliant les pylônes.

Echafaudage d'élévation des piles

Echafaudage d'élévation des piles

Echafaudage d'élévation des piles

Boîtes à sable

La construction en fer ne reposait pas directement sur les têtes des pylônes ; on se servait comme intermédiaires de boîtes à sable représentées dans les figures 11 et 12 de la planche XXV .

On avait tout d'abord rivé sur les tronçons de robustes sabots provisoires en fer, représentés en plan dans la figure 5 de la planche XXV pour l' arbalétrier médian, et dans la figure 9 pour les arbalétriers latéraux. Les premiers présentent une table inférieure horizontale de 14 mm d'épaisseur, épousant la forme de l'arbalétrier et ayant une longueur de 1,65 m sur 1,03 m. Elle est maintenue par six fortes consoles en tôles et cornières de 1,33 m de hauteur, rivées sur les faces de l'arbalétrier. Les autres ont une table de 0,877 m sur 0,908 m maintenue par 3 consoles semblables aux premières. Les consoles sont réunies entre elles par des entretoisements et reliées en outre par des cornières provisoires à la grande entretoise voisine.

Les boîtes à sable sont des cylindres en tôle de 0,50 m de hauteur et de 0,40 m de diamètre qu'on remplit en partie de sable très sec et dans lesquels on introduit un tampon de chêne fortement fretté de 0,50 m de hauteur, formant piston. Le cylindre porte à sa base un trou que l'on ferme avec une fiche en bois. Si l'on retire cette fiche et que l'on gratte par l'ouverture le sable contenu dans le cylindre, ce sable s'écoule, mais l'écoulement s'arrête dès qu'on ne le provoque plus. Il s'ensuit qu'on peut régler la descente du piston avec une extrême lenteur et l'arrêter exactement comme on le désire.

Par ce moyen, on se réservait donc de pouvoir abaisser la construction métallique portée par les échafaudages de butée, ce qui devait servir plus tard à l'amener exactement à sa place définitive. On pouvait également produire des relèvements à l'aide de vérins hydrauliques ordinaires placés à côté des boîtes à sable et prenant leur point d'appui sur le sommet du pylône. Comme, en outre, la manœuvre des vérins hydrauliques placés sous les appuis permettait de soulever ou d'abaisser les arbalétriers des montants, on disposait, par la combinaison de ces divers modes d'action, de moyens de réglage très sûrs qui mettaient absolument dans la main du contremaître de montage le déplacement de ces grosses masses à l'aide de trois ou quatre hommes seulement, sans que le travail fût interrompu et sans même que l'on s'en aperçût.

C'était merveille, dit M. Alfred Picard, de régler la position de masses si considérables, comme un géomètre règle son niveau à bulle d'air à l'aide de vis.

Montage des poutres du 1er étage

Voir la planche XXV, figure 15 à 18

Ces poutres ont 7,834 m de hauteur et font un angle de 63,18° avec le plan vertical; elles sont situées dans les plans des faces extérieures et intérieures de la Tour et par suite distantes de 15 m d'axe en axe.

Des entretoises à treillis, ayant la même hauteur que les poutres, les relient deux à deux perpendiculairement. L'ensemble de ces poutres avec leurs entretoises ne pesait guère plus de 70 000 kg pour une face; mais ce qui rendait leur montage difficile, c'était la grande hauteur à laquelle on devait le faire et aussi la forte inclinaison des poutres qui obligeait à les étayer jusqu'au moment où on les avait reliées, deux à deux, par leurs entretoises. Enfin, par raison d'économie, les échafaudages sur lesquels on les montait n'avaient pas été établis sur la longueur entière des poutres, ce qui forçait à commencer le montage des poutres par la partie centrale et à les faire cheminer progressivement par les deux extrémités en montant en porte-à-faux leurs parties extrêmes jusqu'à leur rencontre avec les piliers principaux.

On avait construit à cet effet quatre échafaudages semblables, un dans chaque face de la Tour. Ils avaient 41 m de hauteur et se composaient de neuf montants verticaux de 25x25, espacés de 7,50 m dans un sens et de 7,75 m dans l'autre. A cause des faibles charges que devait supporter l'échafaudage, on n'avait pas jugé utile d'enterer ces poteaux sur des pieux battus dans le sol, comme cela avait été fait pour les échafaudages de butée; ils s'appuyaient simplement sur des semelles reposant sur le terrain. Ils étaient contreventés dans tous les sens par des croix de Saint-André formées par des bois de 0,22 x0,11 m et reliés horizontalement par sept cours de moises de 0,25 m x 0,12 m. Des contrefiches disposées à leur partie supérieure permettaient de donner à la plate-forme de montage 28,50 m de longueur sur 22,40 m de largeur. Enfin une autre série de contrefiches montant un peu moins haut que celles qui supportaient la plate-forme de montage soutenaient un cintre, qui servit plus tard à mettre en place la partie centrale des arcs décoratifs. Chaque échafaudage comportait 215 m 3 de bois, ce qui donnait un cube total de 885 m 2 pour les quatre, y compris 185 m 3 de platelage et 25 m 2 de calage.

Le montage proprement dit des poutres horizontales n'offrait rien de particulier; il s'effectuait au moyen de chèvres établies sur la plate-forme. Quand il fut terminé, on procéda au raccord de ces poutres avec les montants.

C'était le moment particulièrement difficile de l'opération. Les quatre montants surplombant les échafaudages de butée d'un porte-à-faux d'environ 26 m semblaient, avec leur grande inclinaison, être sur le point de se renverser. Ils avaient à ce moment une longueur de 58 m et pesaient près de 400 000 kg. C'étaient ces grands prismes d'un poids énorme, dont les dimensions étaient voisines de celles des tours de Notre-Dame, qu'il s'agissait de manoeuvrer de manière à les amener en contact avec les poutres horizontales avec lesquelles ils devaient se jonctionner, et il fallait arriver à opérer ces mouvements avec une précision telle que les trous de rivets percés à l'avance dans les goussets de jonction des poutres et des montants vinssent absolument en regard les uns des autres. C'est au moyen des boîtes à sable portées par les échafaudages de butée et au moyen des presses hydrauliques, que nous avons décrites précédemment, qu'on effectua cette manœuvre. Agissant tantôt sur un arbalétrier, tantôt sur un autre, soit pour l'abaisser, soit pour le relever, on arriva à obtenir le contact désiré.

L'implantation des quatre montants était si exacte, leur exécution si parfaite, qu'on put arriver à les assembler avec les poutres de ceinture sans qu'il fût besoin de donner un coup de burin pour retoucher les pièces en contact, ni un coup d'alésoir pour augmenter le diamètre des trous qui devaient recevoir les rivets d'assemblage (fig. 119).

Schéma d'élévation de la grue

Schéma d'élévation de la grue

Schéma d'élévation de la grue

Schéma de la grue ayant servi à la construction de la tour Eiffel

C'était l'opération la plus délicate du montage de la Tour et, du moment qu'elle avait réussi, le succès final était assuré. Les montants étant réunis par les premières poutres-ceintures formaient comme une table solide, largement assise et dont la vue seule suffisait pour écarter toute crainte de renversement. On n'avait plus à redouter d'accident d'ensemble et les accidents partiels qui auraient encore pu se produire n'auraient pas été de nature à compromettre l'achèvement de la construction.

Une fois faite la jonction des montants et des premières poutres horizontales, la mise en place des nombreuses poutres formant les planchers du premier étage, se fit sans aucune difficulté. Les hommes travaillaient sur des plates-formes en charpente, aussi commodément installés que dans un atelier. On arriva ainsi au niveau du premier étage, soit à 57,63 m au-dessus du sol du Champ-de-Mars.

Voir aussi :

Construction de la tour Eiffel

Histoire de la tour Eiffel

Arbaletrier (terme d'architecture)

Un arbalétrier, en architecture, est la pièce structurante d'un édifice. Dans le cas de la tour Eiffel, il s'agit des longues poutres partant des maçonneries, au niveau du sol, et se joignant au sommet. Il y a 4 arbalétriers par pilier, 3 d'entre eux se joignant deux à deux au niveau du 2e étage, le 4e joignant les autres au sommet.

Caisson (terme d'architecture)

Un caisson est un élément métallique ressemblant à un dé n'ayant que les arrêtes, c'est à dire un cube formé à partir de poutrelles. Les faces d'un caisson sont la plupart du temps renforcées par des entretoises, d'autres poutrelles plus petites qui relient les angles d'une face. Un caisson a pour caractéristique de pouvoir travailler aussi bien à la compression qu'à l'extension avec une exceptionnelle résistance. Si les parois du caisson sont évidées, on dit qu'il est en treillis, c'est ce genre de caissons en treillis qui a été utilisé pour la tour Eiffel. Les caissons en treillis n'opposent au vent que le minimum de surface.

Si vous observez la tour Eiffel, vous constaterez qu'elle est formée de 29 rangées de caissons superposés.

Contreventement (terme d'architecture)

Un contreventement est un système statique destiné à assurer la stabilité globale d'un ouvrage vis-à-vis des effets horizontaux issus des éventuelles actions sur celui-ci. La plupart du temps, il s'agit de contrer les effets du vent, surtout en ce qui concerne la tour Eiffel. Il sert également à stabiliser localement certaines parties de l'ouvrage.

Gousset (terme d'architecture)

Le gousset est une pièce de charpente, jambage ou plaque en bois ou en fer, posé obliquement selon un angle d’environ 45° reliant par assemblage un poteau vertical et une poutre horizontale tout en maintenant l’écartement et en donnant de la rigidité à cet ensemble.

Exemple de gousset

Massif (terme d'architecture)

Un massif est un ouvrage compact de stabilité faisant partie de la structure d'un bâtiment ou d'un pont (ouvrage d'art). Il est fabriqué en béton plein ou est constitué avec des blocs de pierre taillée et des moellons. La tour Eiffel possède quatre massifs, c'est le coeur des 4 piliers.

Pile (terme d'architecture)

La pile, généralement d'un pont, est un appui intermédiaire supportant un tablier (une route, une voie de chemin de fer, etc). Il s’agit d’un appui permanent, autrefois systématiquement en maçonnerie, puis passés à la révolution industrielle en métal (fonte, fer), avant d'être en béton, comme c'est la plupart du temps fait de nos jours.

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— Par Gustave Eiffel

« Sans remonter à la Tour de Babel, on peut observer que l’idée même de la construction d’une Tour de très grande hauteur a depuis longtemps hanté l’imagination des hommes. Cette sorte de victoire sur cette terrible loi de la pesanteur qui attache l’homme au sol, lui a toujours paru un symbole de la force et des difficultés vaincues. Pour ne parler que des faits de notre siècle, la Tour de mille pieds, qui dépassait par sa hauteur le double de celle que les monuments les plus élevés construits jusqu’alors avaient permis d’atteindre, s’était posée dans l’esprit des ingénieurs anglais et américains comme un problème bien tentant à résoudre. L’emploi nouveau du métal dans la construction permettait d’ailleurs de l’aborder avec chance de succès. En effet, les ressources de la maçonnerie, au point de vue de la construction d’un édifice très élevé, sont fort limitées. Dès que l’on aborde ces grandes hauteurs de mille pieds, les pressions deviennent tellement considérables que l’on se heurte à des impossibilités pratiques qui rejettent l’édifice projeté au rang des chimères irréalisables. Mais il n’en est pas de même avec l’emploi de la fonte, du fer ou de l’acier, que ce siècle a vu naître comme matériaux de construction, et qui a pris un développement si considérable. Les résistances de ces métaux se meuvent dans un champ beaucoup plus étendu, et leurs ressources sont toutes différentes. Aussi, dès la première apparition de leur emploi dans la construction, l’ingénieur anglais Trevithick, en 1833, proposa d’ériger une immense colonne en fonte ajourée de 1. 000 pieds de hauteur (304, 80 m), ayant 30 m à la base et 3, 60 m au sommet. Mais ce projet fort peu étudié ne reçut aucun commencement d’exécution. La première étude sérieuse qui suivit eut lieu en 1874, à l’occasion de l’Exposition de Philadelphie. Il fut parlé plus que jamais de la Tour de mille pieds, dont le projet (décrit dans la Revue scientifique La Nature) avait été établi par deux ingénieurs américains distingués, MM. Clarke et Reeves. Elle était constituée par un cylindre en fer de 9 m de diamètre maintenu par des haubans métalliques disposés sur tout son pourtour et venant se rattacher à une base de 45 m de diamètre. Malgré le bruit fait autour de ce projet et le génie novateur du Nouveau Monde, soit que la construction parût trop hardie, soit que les capitaux eussent manqué, on recula au dernier moment devant sonexécution ; mais cette conception était déjà entrée dans le domaine’ de l’ingénieur. En 1881, M. Sébillot revint d’Amérique avec le dessin d’une Tour en fer de 300 m, surmontée d’un foyer électrique pour l’éclairage de Paris, projet sur le caractère pratique duquel il n’y a pas à insister. MM. Bourdais et Sébillot reprirent en commun l’idée de cet édifice, mais leur Tour soleil était cette fois en maçonnerie. Ce projet soulevait de nombreuses objections qui s’appliquent d’ailleurs à une construction quelconque de ce genre. La difficulté des fondations, les conséquences dangereuses qui pourraient résulter, soit des tassements inégaux du sol (tassements qui, dans le cas d’une Tour en fer, n’ont aucun inconvénient sérieux), soit des tassements inégaux des mortiers et de leur prise insuffisante au sein de ces gros massifs, les difficultés et les lenteurs de construction qu’en- traînerait la mise en œuvre du cube énorme des maçonneries nécessaires, ainsi que le prix considérable de l’ouvrage, — toutes ces considérations nous ont donné la conviction qu’une tour en maçonnerie, très difficile à projeter théoriquement, présenterait en pratique des dangers et des inconvénients considérables, dont le moindre est celui d’une dépense tout à fait disproportionnée avec le but à atteindre. Le fer ou l’acier nous semble donc la seule matière capable de mener à la solution du problème. Du reste, l’Antiquité, le Moyen Age et la Renaissance ont poussé l’emploi de la pierre à ses extrêmes limites de hardiesse, et il ne semble guère possible d’aller beaucoup plus loin que nos devanciers avec les mêmes matériaux, — d’autant plus que l’art de la construction n’a pas fait de très notables progrès dans ce sens depuis bien longtemps déjà. Voici la hauteur des plus hauts monuments du monde actuellement existants : Colonne de la place Vendôme. 45 mètres. Colonne de la Bastille. 47 Tour de Notre-Dame de Paris 66 Panthéon 79 Capitole de Washington 93 Cathédrale d’Amiens 100 Flèche des Invalides 105 Dôme de Milan 109 Saint-Paul de Londres 110 Cathédrale de Chartres. 113 Tour Saint-Michel à Bordeaux 113 Cathédrale d’Anvers. 120 Saint-Pierre de Rome. 132 Tour Saint-Étienne à Vienne 138 Cathédrale de Strasbourg 142 Pyramide de Chéops 146 Cathédrale de Rouen 150 Cathédrale de Cologne 156 Obélisque de Washington. 169 Tour Môle Antonelliana à Turin 170

L’édifice, tel que nous le projetions avec sa hauteur inusitée, exigeait donc rationnellement une matière sinon nouvelle, mais au moins que l’industrie n’avait pas encore mise à la portée des ingénieurs et des architectes qui nous avaient précédés. Cette matière ne pouvait pas être la fonte, laquelle résiste très mal à des efforts autres que ceux de simplecompression ; ce devait être exclusivement le fer ou l’acier, par l’emploi desquels les plus difficiles problèmes de construction se résolvent si simplement, en nous permettant d’établir couramment soit des charpentes, soit des ponts à grande portée, qui auraient paru autrefois irréalisables. »

Extrait de Tour Eiffel en 1900 par Eiffel, Gustave (1832-1923) Paris : Masson, 1902.

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JO Paris 2024 : "Jusqu'ici tout va bien"

Publié le : 26/06/2024 - 08:07

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À la Une de la presse, ce mercredi 26 juin, la campagne pour les législatives françaises et le débat, hier soir, entre le Premier ministre Gabriel Attal, le président du RN Jordan Bardella, et le coordinateur de la France insoumise Manuel Bompard, à 5 jours du premier tour. À un mois jour pour jour de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris, l’incertitude politique inquiète une partie de la presse française, tandis que les médias américains suivent les préparatifs avec attention.

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À la Une de la presse française, la campagne pour les législatives françaises et le débat, hier soir, entre le Premier ministre Gabriel Attal, le président du Rassemblement national (RN) Jordan Bardella, et le coordinateur de la France insoumise Manuel Bompard, à cinq jours du premier tour.

D’après Le Parisien/Aujourd’hui en France , Gabriel Attal, Jordan Bardella et Manuel Bompard, ont présenté "un condensé des positionnements stratégiques" de leur camp. Autrement dit, pas de surprise au programme, chacun étant resté "dans son couloir", selon le journal. Le Figaro évoque une "bataille de la crédibilité" et résume le match à un affrontement entre le camp présidentiel, qui dénonce "l’irresponsabilité" de ses adversaires, et le RN et le Nouveau Front Populaire (NFP), qui "renvoient la majorité à son bilan". La majorité et Emmanuel Macron, qui brandissent la menace du désordre en cas de victoire du RN comme du NFP. L’Opinion fait état, lui, de la "crainte" de certains "observateurs" d’un "embrasement", d’une "déferlante d’actions violentes de l’ultradroite et de l’ultragauche, en cas d’accession du RN au pouvoir" – d’où le dessin de Kak, montrant les uns et les autres, attendant "le mandat des Français" pour en venir aux mains.

L’incertitude des législatives inquiète, à un mois jour pour jour de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris. D’après Libération , qui a rencontré plusieurs responsables de l’organisation des Jeux, le "discours de façade" serait "partout le même" : "Même pas mal, on gère". Mais en coulisses, certains reconnaissent que l’événement risque de se retrouver "éclipsé" par les législatives, ou disent craindre "une récupération par l’extrême droite".

Alors "prêts pour le show" ou pas ? À en croire Le Parisien/Aujourd’hui en France , "jusqu’ici tout va (très) bien", malgré "les inquiétudes sur l’issue des législatives". "Les JO, plaide Le Parisien , peuvent être le catalyseur dont nous avons besoin pour renouer avec notre fierté nationale. C’est l’occasion de montrer au monde, mais surtout à nous-mêmes, que la France sait encore briller par son organisation, sa créativité et son esprit d’ouverture". Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, qui a déjà fait savoir qu’il rendra son tablier s’il est réélu le 7 juillet, soutient, en tout cas, que tout est déjà "prêt". En attendant, Paris s’est déjà paré de ses habits olympiques, du stade de France au champ de Mars, où les jardins qui s’étendent de la Tour Eiffel au grand palais éphémère, font apparaître le stade tour Eiffel et ses 13 000 places pour les épreuves de beach-volley et de cécifoot, le foot pour les déficients visuels.

Le Parisien a en revanche une mauvaise nouvelle concernant la Seine. Selon le journal, les résultats des analyses effectuées entre le 1 er et le 16 juin ne sont toujours pas bons et montrent une qualité de l’eau "encore très dégradée". Une pollution "liée en grande partie aux intempéries de ces dernières semaines". Mais les JO de Paris ne se dérouleront pas seulement dans la capitale. Les épreuves de surf, par exemple, auront lieu dans les eaux plus cristallines de Tahiti. Interrogé par L’Humanité , le président de la Fédération française, Jacques Lajuncomme, espère que ces Jeux seront l’occasion de mettre en avant sa discipline, 15 000 licenciés en France, et annonce que les Français ont "des chances de médailles".

La presse américaine suit aussi de très près la préparation de ces Jeux. "Paris peut-il sauver ses JO ?" : le très conservateur Wall Street Journal évoque le "défi de taille" d’"organiser des Jeux dans les délais et dans les limites du budget imparti", alors que les précédentes éditions ont "meurtri" l’image des JO au niveau mondial. Parce que qui aime bien châtie bien, sans doute, le journal s’attarde tout particulièrement sur le mécontentement des Parisiens. "En France, on plaisante souvent en disant que le passe-temps national n'est ni le foot, ni le rugby, ni même la pétanque mais la complainte, qui a atteint des niveaux historiques avec le début imminent des Jeux". Le quotidien américain explique, avec un brin de condescendance, que "beaucoup de Parisiens ne comprennent pas à quel point les enjeux de ces JO sont importants, bien plus importants que le désagrément des métros bondés ou le bruit des Américains pendant trois semaines".

Mais ce qui semble angoisser le plus les médias outre-Atlantique, c’est l’absence d’air conditionné. La chaîne d’info CNN , qui a visité le village olympique de Saint-Denis, a constaté avec effroi l’absence de clim dans les logements des athlètes. Qu’à cela ne tienne : les sportifs américains apporteront la leur, d’après The Washington Post , assez désarçonné par ces Parisiens qui restent "stoïques" par forte chaleur et considèrent la climatisation "comme un plaisir dévastateur pour le climat, privilégié principalement par des Américains pleurnichards".

On ne se quitte pas là-dessus. En France, on n’a pas la clim mais on a la haute-couture. La fashion week de Paris s’est terminée hier, et The New York Times s’enthousiasme pour la collection inspirée des JO du couturier Thom Browne. D’après les spécialistes, le styliste américain pourrait être le candidat idéal pour reprendre les rênes des très français Chanel ou Givenchy. Tout serait pardonné!

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Le résumé de la semaine France 24 vous propose de revenir sur les actualités qui ont marqué la semaine

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Les e-billets sont progressivement mis en ligne pour des visites jusqu’à début septembre. Consultez cet article pour vous tenir au courant des conditions de visite du monument pendant la période des Jeux olympiques et paralympiques, et pendant la semaine qui précède la cérémonie d’ouverture (18-25 juillet). 

photo plancher de verre

Le 1er étage

Le 1er étage est l’un des lieux les plus spectaculaires et les plus attrayants de Paris grâce à une architecture oblique et transparente, une expérience du vide spectaculaire.

Partez à la découverte de l’histoire de la tour Eiffel, frissonnez sur le plancher de verre, contemplez Paris qui s’étale à vos pieds…

À voir au 1er étage

Photo du sticker de l'expérience sur smartphone au 1er étage

Plongez dans l'histoire de la Tour avec votre smartphone

Deux expériences virtuelles à 360° sur smartphone vous invitent à découvrir des pans de l’histoire de la tour Eiffel en compagnie de Gustave Eiffel !

Cherchez l’élégant Gustave et son QR Code : en face de la terrasse (sticker) et dans les coursives extérieures (panneaux).

Découvrir toutes les expériences disponibles

Photo d'un panneau du parcours sportifs pour les enfants

Des défis sportifs pour être en forme olympique !

Pour nos petits visiteurs, la suite du parcours sportif et ludique, proposé du sol au 2ème étage les invite à relever d’amusants défis physiques et résoudre des quiz !

Localisez les panneaux du circuit sur ce plan.  

Intérieur du restaurant Madame Brasserie

Madame Brasserie

Brasserie contemporaine à la vue imprenable

Porté par le Chef Thierry Marx, Madame Brasserie vous invite à goûter sa cuisine créative et locale dans une atmosphère conviviale et contemporaine tout en profitant d'une vue inédite sur la capitale.    Travaillés avec des produits locaux et de saisons, les plats proposés par le chef Thierry Marx sauront surprendre vos papilles. Prenez donc le temps de vous régaler et de vivre la culture brasserie. 

Infos & Réservations 

Terrasse d'été 330

Des espaces dédiés à la détente

Espaces de repos et de contemplation, restauration, bar, boutique vous accueillent pour une pause agréable avec une vue totalement imprenable sur Paris.

Rendez-vous sur la grande terrasse et dans le Pavillon Ferrié.

Parcours muséographique

Le parcours découverte

Écrans, dalles tactiles, vitrines, albums numériques, reprographies d’objets… vous permettent de découvrir tous les aspects souvent méconnus de la tour Eiffel.

À découvrir le long de la coursive extérieure.

Escalier historique

Tronçon de l'escalier en colimaçon

L'escalier historique

Au premier étage de la tour Eiffel, vous pouvez admirer un morceau de 4.30 mètres de l’escalier historique.  Cet escalier hélicoïdal reliait le deuxième étage au sommet. Gustave Eiffel l'utilisait pour atteindre le bureau qu'il s'y était aménagé ! Devenu obsolète, l'escalier fut démonté en 1983.

Restaurants & boutiques

Terrasse été 330

La terrasse saisonnière

En été comme en hiver, une grande terrasse décorée et animée selon la saison vous propose de faire une pause bien méritée, avec rafraichissements, boissons, plats et snacks sur le pouce.

Buffet du premier étage

Une petite faim ? Envie d’un moment gourmand ? Le buffet du pavillon Ferrié permet de se restaurer rapidement. Une salle avec tables et vue agréable côté sud permet de s'asseoir pour une pause bien méritée !

La boutique Pavillon Ferrié

La boutique Pavillon Ferrié

A découvrir au début ou en fin de parcours, la plus grande boutique de la tour Eiffel vous propose une multitude de souvenirs, des jeux, parfums, une grande sélection d’articles de la collection exclusive de la tour Eiffel "Made in France", ainsi que des livres pour approfondir vos connaissances sur le monument.

Continuer la visite

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Ascenceurs & escaliers Sensationnels

Le parvis

Le parvis Stupéfaction

La Tour Eiffel

2ème étage Eblouissement

À savoir sur le 1er étage

Vue sur le Salon Gustave Eiffel

La Salle Gustave Eiffel

La Salle Gustave Eiffel vous attend pour accueillir vos événements professionnels. Cette salle de réception dispose d’une situation exceptionnelle au 1er étage de la tour Eiffel avec une vue imprenable sur Paris et ses sites les plus remarquables.  

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IMAGES

  1. Tour eiffel hauteur » Voyage

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  2. Tour Eiffel Hauteur

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  5. Quelle Est La Hauteur De La Tour Eiffel

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COMMENTS

  1. Tour Eiffel

    D'une hauteur de 312 mètres [o 1] à l'origine, la tour Eiffel est restée le monument le plus élevé du monde pendant quarante ans. Le second niveau du troisième étage, appelé parfois quatrième étage, situé à 279,11 mètres, est la plus haute plateforme d'observation accessible au public de l'Union européenne et la ...

  2. Hauteur, poids, construction

    La tour Eiffel a été construite par Gustave Eiffel à l'occasion de l'Exposition Universelle de 1889 qui célébrait le premier centenaire de la Révolution française. Deux ans, deux mois et 5 jours

  3. De 300 à 330 mètres : l'histoire de la taille de la Tour

    En effet, elle mesurait exactement 300 mètres de hauteur. Mais dès son inauguration, le 31 mars, son sommet est surplombé par un très grand mât permettant de faire flotter le drapeau français, faisant culminer la Tour à un peu plus de 312 mètres. Le sommet au tout début du XXème siècle.

  4. Données techniques de la tour Eiffel

    Hauteur totale avec antenne (mesure 1994) 1 mètre. Hauteur totale avec antenne (mesure 1991) 6 mètres. Hauteur totale avec drapeau (mesure 1889) 312,27 mètres. Hauteur totale sans drapeau (mesure 1889) 300 mètres. Principales données chiffrées de la tour Eiffel.

  5. La Tour Eiffel : tout savoir sur le monument

    Tous les soirs, la tour Eiffel se pare de son habillage doré et scintille 5 minutes au début de chaque heure, tandis que son phare rayonne sur Paris. On vous explique tout sur l'éclairage et les lumières de la Tour.

  6. Dimensions de la tour Eiffel

    La tour Eiffel mesure 324m, actuellement. Elle n'a pas cessé de grandir en fonction des époques, initialement elle ne mesurait "que" 312m, mesure prise au sommet de la hampe du drapeau tricolore, le point le plus haut. Le sommet de la tour, c'est 301m, sans le drapeau.

  7. Tour Eiffel

    La tour Eiffel [tuʁɛfɛl] est une tour de fer puddlé de 330 m de hauteur située à Paris, à l'extrémité nord-ouest du parc du Champ-de-Mars en bordure de la Seine dans le 7e arrondissement. Son adresse officielle est 5, avenue Anatole-France.

  8. Découvrez l'histoire et la beauté de la Tour Eiffel à Paris

    La Tour Eiffel est haute de 324 mètres, ce qui en fait la plus haute structure de Paris et l'un des monuments les plus hauts du monde. La Tour Eiffel est construite en fer puddlé, un matériau innovant pour l'époque de sa construction.

  9. Tour Eiffel: Tout ce qui faut savoir sur l'histoire de la tour, sa

    Le 30 mars 1885, Eiffel présente à la Société des ingénieurs civils un mémoire intitulé Tour en fer de 300 m de hauteur destinée à l'Exposition de 1889. Il en donne les caractéristiques principales : un prix estimé à 3 155 000 francs (il sera multiplié par deux fois et demie), un poids de 4 800 tonnes (ce sera 7 300 ...

  10. La tour Eiffel, un symbole français et haut lieu touristique depuis

    Avec ses 330 mètres de hauteur, ses 10 000 tonnes d'acier et ses 1665 marches, la tour Eiffel fascine. Au fil des années, la tour Eiffel est devenue une fierté nationale et un symbole aux yeux du monde.

  11. Tour Eiffel : quelle est sa VRAIE taille

    Pour débuter, notez que la hauteur de la Tour Eiffel s'élève à 324 mètres, ce qui la place quasiment au même niveau que les gratte-ciel de la Défense. Cette mesure en fait la structure la plus haute de Paris, surpassant de loin la Basilique du Sacré-Cœur (83 mètres) ainsi que la Cathédrale Notre-Dame de Paris (69 mètres). Pour ...

  12. Quelle est la hauteur de la Tour Eiffel

    Pour le détail, la première plateforme est à 57 mètres de haut, la seconde à 115 mètres, la troisième culmine à 276 mètres. À titre de comparaison, la tour Khalifa Dubai construite en 2009, d'une hauteur de 810 m, représente l'équivalent de 2,45 fois la Tour Eiffel.

  13. Architecture, construction & histoire de la tour Eiffel

    L'objet du concours lancé lors de l'exposition est d'« étudier la possibilité d'élever sur le Champ-de-Mars une tour de fer, à base carrée, de 125 mètres de côté et de 300 mètres de hauteur ». Choisi parmi 107 projets, c'est celui de Gustave Eiffel, entrepreneur, Maurice Koechlin et Emile Nouguier, ingénieurs et Stephen ...

  14. Hauteur de la Tour Eiffel : quelle est sa taille exacte

    La hauteur officielle de la Tour Eiffel, mesurée depuis le sol jusqu'à la pointe de son antenne, est de 324 mètres. Cependant, cette mesure ne tient pas compte de l'antenne, ce qui porte la hauteur totale de la tour à 330 mètres.

  15. Tour Eiffel : taille, poids, prix de la visite, nombre de marches…

    Au total, la Tour Eiffel mesure 324 mètres. Ces 324 mètres sont répartis de la manière suivante : 1er étage : 57,63 mètres. 2ème étage : 115,75 mètres. 3ème étage : 276,13 mètres. Au-delà du troisième étage se trouve l'antenne, qui culmine donc à une hauteur de 324 mètres, comme le montre l'image ci-dessous.

  16. Pourquoi la tour Eiffel change-t-elle de taille selon la saison

    Toutefois, comme tous les édifices élevés, la vénérable « dame de fer », avec ses 324 mètres de hauteur, est sensible à son environnement, et, en fonction des saisons, elle peut prendre...

  17. Guide complet pour visiter la Tour Eiffel

    Quelle est la hauteur de la Tour Eiffel ? La Tour Eiffel mesure 324 mètres de hauteur, ses antennes comprises. La hauteur initiale sans les antennes s'élevait à 312 mètres.

  18. Construction des piliers de la tour Eiffel

    Son diamètre est de 0,43 m, sa hauteur, de 0,34 m. Il porte à sa partie inférieure un cuir embouti maintenu par une couronne en bronze boulonnée. Le corps du vérin lui-même est en fer forgé d'une épaisseur de 95 mm ; son diamètre extérieur est de 0,62 m et sa hauteur de 0,41 m.

  19. La tour Eiffel : 133 ans et 330 mètres de hauteur

    A quelques jours d'écart, la tour Eiffel célèbre son passage à 330 mètres de hauteur (22 mars) et son 133ème anniversaire (31 mars). Le monument vient de grandir de 6 mètres grâce à l'installation d'une nouvelle antenne dédiée à la radio numérique (DAB+). Une jolie concordance de chiffres ! Que s'est-il passé le 31 mars 1889 ?

  20. Les bâtiments de grande hauteur avant la Tour Eiffel

    Les bâtiments de grande hauteur avant la Tour Eiffel. — Par Gustave Eiffel. « Sans remonter à la Tour de Babel, on peut observer que l'idée même de la construction d'une Tour de très grande hauteur a depuis longtemps hanté l'imagination des hommes.

  21. Top 21 des endroits pour avoir la meilleure vue sur la Tour Eiffel

    Trouvez la meilleure vue sur la Tour Eiffel à Paris - Top 21 des lieux ! La visite de la Tour Eiffel est un incontournable pour quiconque voyage à Paris. Trouver un superbe point de vue pour admirer ce monument emblématique peut améliorer votre expérience.

  22. Pourquoi la tour Eiffel change de taille

    Au moment de son inauguration pour l'Exposition Universelle de Paris le 31 mars 1889, la tour Eiffel, initialement appelée « La Tour de 300 mètres », était la plus haute tour du monde avec au final 312 mètres ! Elle tint fièrement le record jusqu'en 1931. Cette année-là, elle fut détrônée par l'Empire State Building ...

  23. Accessibilité Stade tour Eiffel

    CHAMP DE MARS TOUR EIFFEL : RER C Puis 600 m de marche pour rejoindre le site ALMA-MARCEAU : Métro 9 Puis 1,25 km de marche pour rejoindre le site BIR-HAKEIMMétro 6 Puis 800 m de marche pour rejoindre le site Notre conseil. Privilégiez le RER C pour vous rendre sur le site de compétition. Il est vivement recommandé de prévoir des temps de transport suffisants et d'arriver sur site au ...

  24. JO Paris 2024 : "Jusqu'ici tout va bien"

    JO Paris 2024 : "Jusqu'ici tout va bien". À la Une de la presse, ce mercredi 26 juin, la campagne pour les législatives françaises et le débat, hier soir, entre le Premier ministre Gabriel ...

  25. Découvrir le 1er étage de la Tour Eiffel

    Au premier étage de la tour Eiffel, vous pouvez admirer un morceau de 4.30 mètres de l'escalier historique. Cet escalier hélicoïdal reliait le deuxième étage au sommet. Gustave Eiffel l'utilisait pour atteindre le bureau qu'il s'y était aménagé ! Devenu obsolète, l'escalier fut démonté en 1983.