ceremonie 11 novembre 2022 tours

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Cérémonie commémorative de l’Armistice 1918 – Vendredi 11 novembre

10h25    Rassemblement devant le cimetière pour la visite des tombes des soldats

11h00   Rassemblement sur le parvis de l’Hôtel de Ville Montée des Couleurs Allocution de Monsieur le Maire Restitution du drapeau des anciens combattants de 14-18 à la Municipalité Dépôt de gerbes Appel aux morts Minute de silence Sonnerie aux morts Marseillaise Chant « Liberté » (Maurice Carême)

Les chants et musiques seront interprétés par les élèves des écoles de Chambray et l’Harmonie municipale.

11h45   Vin d’honneur en Mairie

Exposition des « cadres du souvenir » dans la salle des mariages.

Prochaine cérémonie commémorative : Journée d’hommage aux Morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie Lundi 5 décembre – 11h Square des Anciens combattants d’Afrique du Nord

Mairie de Chambray-lès-Tours, Rue de la Mairie, Chambray-lès-Tours, France

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Cérémonies du 11-Novembre : les fanfares, vitrine de la musique populaire

Ce week-end, les cérémonies du 11-Novembre marqueront l’un des rendez-vous traditionnels des fanfares, appelées à jouer devant les monuments aux morts. Nées de l’idéal révolutionnaire, les fanfares et harmonies bénéficient d’un nouvel intérêt des pouvoirs publics, qui ont lancé un plan dédié il y a trois ans.

• Emmanuelle Giuliani ,
• le 11/11/2023 à 07:58
• Modifié le 11/11/2023 à 12:51

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Lecture en 3 min.

Une fanfare lors de la Fête de l'andouille d’Aire-sur-la-Lys, le 3 septembre 2023.

Sebastien JARRY/PHOTOPQR/VOIX DU NORD/MAXPPP

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Les premiers accords ont résonné en 2021-2022. Puis la mélodie est allée crescendo en 2023 et se prolongera en 2024. Lancé par le ministère de la culture, le plan fanfare en faveur des ensembles musicaux amateurs « s’inscrit dans le cadre d’un soutien renforcé aux pratiques culturelles et artistiques des Français ».

Et si les sommes allouées demeurent modestes – 20 000 € maximum par projet pour un budget global de 1 million par an –, elles n’en demeurent pas moins précieuses pour des formations aux moyens parfois resserrés.

Un idéal de culture populaire

« C’est une bonne idée de la part du ministère » , reconnaît le musicologue Philippe Gumplowicz, auteur des remarquables Travaux d’Orphée (1). « Depuis le début des années 2000, la pratique musicale est un peu à la peine en France, après une période plus faste. Toute initiative pour la soutenir mérite d’être saluée. »

D’autant que le paysage des fanfares (lire ci-dessous) s’est diversifié et complexifié. « Si toutes partagent le même idéal de sociabilité, vous trouvez aussi bien des ensembles de cuivres traditionnels impliqués dans les cérémonies de leurs communes que des émanations de conservatoires ou encore des petits orchestres urbains plus “bobos”, bien éloignés des codes et cadres stricts des formations à l’ancienne », souligne Philippe Gumplowicz.

Il se réjouit également que « le grand mépris social » dont elles furent longtemps victimes de la part des élites artistiques « ne soit plus de mise aujourd’hui, grâce à cette multiplicité des milieux et des âges » . Issues du mouvement des orphéons après la Révolution, les fanfares participèrent de la diffusion du patrimoine musical hors des cercles aristocratiques et de la pratique religieuse. Ainsi, le premier orchestre du Conservatoire national de musique de Paris, fondé en 1795, fut une harmonie composée de plus de 100 exécutants, professeurs et élèves…

Si les musiques militaires ou festives de l’Ancien Régime y laissent aussi leur trace, c’est bien un idéal de culture populaire qui est à l’œuvre, pour chanter la nation réconciliée et réunir les vertus collectives et le génie des Muses. « Car l’excellence est visée , insiste Philippe Gumplowicz, assistée par les progrès de la facture instrumentale qui produit des instruments plus fiables, plus homogènes et… moins chers. »

Un réinvestissement des valeurs de solidarité et de fraternité

Si les fanfares s’enorgueillissent d’interpréter le « grand » répertoire symphonique et lyrique, elles se glissent aussi avec délices dans les refrains plus légers et inspirent les compositeurs du temps, de Saint-Saëns à Gounod et Ambroise Thomas. Elles flamboient lors des Expositions universelles parisiennes, rendez-vous de la démesure, et soudent dans toute la France les communautés rurales et ouvrières. Durant la seconde moitié du XIXe siècle, le nombre des fanfares passe de 400 à 8 000 !

La déflagration de 1914, l’émergence de nouveaux styles musicaux comme le jazz, les crises du monde ouvrier et les coups de boutoir donnés à la notion, enthousiaste et naïve, de « peuple » accompagnent un lent déclin des harmonies. Même si de jeunes compositeurs leur dédient de nouvelles partitions, à l’image de Darius Milhaud, Albert Roussel ou Jacques Ibert, le cœur n’y est plus vraiment. Il faut un réinvestissement des valeurs de solidarité et de fraternité, via la musique et en réponse à l’éclatement de la société, pour que les atouts des fanfares apparaissent à nouveau dans tout leur précieux éclat.

Rappelons-nous le succès des Virtuoses , le film du Britannique Mark Herman, sorti en 1997, reposant sur le contraste entre la vie cabossée de ses héros et la dimension transcendante que leur offre l’émulation musicale. En un mot, la quête d’harmonie.

Fanfare ou harmonie ?

Une fanfare se compose exclusivement de cuivres (trompettes, cors, trombones…) et de percussions, tandis qu’une harmonie inclut également les bois (flûtes, clarinettes, hautbois…), famille d’instruments que l’on appelle aussi la « petite harmonie ». Dès la Renaissance, ces formations inspirent les compositeurs, dans les domaines profane et sacré, tandis que la musique militaire développe son propre répertoire.

Pour mémoire, le terme d’orphéon est imaginé par Louis Bocquillon dit Wilhem (1781-1842) et désigne le chœur de tous les enfants qu’il a initiés au chant dans les écoles primaires de Paris.

De nos jours, on dénombre en France environ 500 fanfares et harmonies composées de musiciens amateurs. Un peu moins de la moitié sont implantées dans le Nord et le Pas-de-Calais. Nombre d’entre elles sont adhérentes de l’Union des fanfares et ensembles musicaux (Ufem), confédération créée en 1906, et de la Confédération française des batteries et des fanfares (CFBF), fondée en 1980.

Il existe aussi des fanfares professionnelles (non éligibles au plan fanfare du ministère).

(1) Les Travaux d’Orphée. Deux siècles de pratique musicale amateur en France (1820-2000) , Éd. Aubier.

• Première Guerre mondiale (1914-1918)

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11-Novembre : revivez la cérémonie commémorative présidée par Emmanuel Macron à Paris

Le chef de l'Etat a déposé une gerbe au pied de la statue de Georges Clemenceau, sur les Champs-Elysées.

Ce qu'il faut savoir

Cent-quatre ans après l'armistice de 1918, la France commémore  la fin de la Première Guerre mondiale , vendredi 11 novembre. De nombreuses cérémonies ont notamment été organisées à travers le pays, dans la matinée, pour rendre également hommage à tous les morts pour la France. Revivez la cérémonie.

Emmanuel Macron a présidé les commémorations à Paris. Le chef de l'Etat a présidé la cérémonie de commémoration du 104e anniversaire de l'armistice de 1918, à Paris. Il a d'abord déposé une gerbe au pied de la statue de Georges Clemenceau, sur les Champs-Elysées, avant de se rendre au pied de l'Arc de triomphe pour rendre hommage au drapeau français.

 Deux figures de l'opposition dans l'Aisne.  Jordan Bardella, le nouveau président du Rassemblement national, était à Villers-Cotterêts, dans l'Aisne, pour assister à une cérémonie qui débutait à 10 heures. Toujours dans ce département, Jean-Luc Mélenchon s'est rendu à Chauny pour la cérémonie officielle du 11-Novembre, à 11 heures, avant de prononcer à 14 heures un discours devant le monument dédié aux soldats fusillés pour l’exemple. Marine Le Pen était quant à elle dans son fief d'Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais).

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Cérémonie du 11 novembre Émission du vendredi 11 novembre 2022

• indisponible
• tous publics

A l'occasion du 104e anniversaire de la signature de l'armistice de la Première Guerre mondiale, la rédaction nationale de France Télévisions propose une édition exceptionnelle. Le président de la République Emmanuel Macron se rend devant la statue de Georges Clemenceau sur les Champs-Élysées et à l'Arc de triomphe pour une matinée de commémorations. A cette occasion, France 2 propose une édition spéciale présentée par Julian Bugier, avec en plateau Nathalie Saint-Cricq, éditorialiste politique, Yann de Vaulx, expert militaire, Fabrice d'Almeida, historien, Jean-Yves Le Naour, historien de la Grande Guerre, et Audrey Chaix, directrice du musée de la Grande Guerre de Meaux. Cette émission spéciale rendra hommage aux femmes de la Grande Guerre, célèbres ou anonymes.

Présenté par : Julian Bugier

Chroniqueurs : Nathalie Saint-Cricq, Yann de Vaulx, Fabrice d'Almeida, Jean-Yves Le Naour, Audrey Chaix

Cérémonie du 11 novembre

La commémoration du 11 novembre de cette année était forcément très particulière – COVID oblige – organisée en présence d’une représentation très restreinte d’élus et d’associations d’anciens combattants, sans public et dans le strict respect des consignes sanitaires. Cette cérémonie a permis de rendre hommage à celles et ceux qui se sont battus pour garantir nos libertés. Voici le discours que Monsieur le Maire tenait à adresser aux Jocondiens :

Discours à l’occasion des cérémonies du 11 novembre commémorant l’Armistice de 1918

Le 11 novembre 1918, à 10h55, un coup de feu retentit, ce n’est pas l’annonce de la fin des combats. Ce sera le coup de feu qui ôtera la vie au dernier soldat français tué de la Première guerre mondiale. Il s’appelait Augustin Trébuchon, il avait 40 ans. Il mourra le 11 novembre 1918, cinq minutes avant le son des clairons et des clochers des villages de France annonçant le cessez-le-feu. Cruel destin que celui de cet homme qui était porteur d’un message pour son capitaine. L’Armée antidatera la mort du dernier poilu au 10 novembre car il était inconcevable qu’un soldat meure le jour de la victoire. Pour autant, il fallait bien un dernier mort au combat. Une dernière vie fauchée par une guerre qui nous parait si lointaine. Une guerre construite sur la revanche, construite sur le terreau des nationalismes et qui durant 4 années fera plus de 18 millions de morts civils ou militaires. Un bilan effroyable qui n’évoque évidemment ni les blessés, les « gueules cassées », ni les traumatisés et pas non plus les orphelins. Un bilan qui fait froid dans le dos. Toutes les familles françaises sont touchées, un père, un frère, un oncle…

L’été 1914, après l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand d’Autriche, allant d’ultimatum en avertissement, le jeu des alliances fait basculer les nations européennes dans le conflit. Vous l’avez appris sur les bancs de l’école, à la mobilisation nos soldats partaient la fleur au fusil. Venant des villes et des campagnes, persuadés de la supériorité de nos forces, nourris du souhait de revanche entretenu depuis plus de 40 ans, les Français partent pour une guerre courte, une formalité, un juste retour des choses qui doit effacer la cruelle défaite de 1870. La France est forte. Sûre d’elle-même, elle a fait le deuil des rois et des empereurs et veut faire vivre la fibre républicaine. Une République qui n’imagine pas qu’elle enverra à la mort Charles Péguy ou Alain-Fournier. Mais une République qui enverra aussi naître de son destin un certain capitaine de Gaulle.

Rapidement les fleurs accrochées aux baïonnettes ont disparu. On passe de l’espoir d’une guerre courte à la réalité d’une guerre de tranchées qui nécessite des uniformes mieux adaptés. Du pantalon rouge garance, on passe à l’uniforme bleu horizon à la toile épaisse.

De cette guerre naîtront des héros. A l’image d’Albert Roche. Âgé de 19 ans à la mobilisation, Albert est jugé trop chétif pour aller se battre. Il refuse, se sauve de la ferme de son père et est finalement incorporé. Mal-noté et rebelle, il s’enfuit. Rattrapé et mis en prison pour désertion il est finalement envoyé au 27 ème bataillon de chasseurs alpins. Durant le conflit Albert sera blessé 9 fois. Particulièrement doué pour la reconnaissance, il est un jour fait prisonnier, mais désarme l’officier allemand qui l’interroge. Il revient dans le camp français en ayant fait 42 prisonniers et en ramenant son lieutenant blessé sur son dos. Au total sur les 4 années de guerre, Albert Roche fera à lui tout seul 1 180 prisonniers allemands.

La France célèbre ses héros et passe sous silence ceux qui souffrent. Les lettres des soldats deviennent au fil des mois de moins en moins optimistes et décrivent un quotidien particulièrement difficile. La boue, les rats, les poux, la promiscuité, la fatigue, la peur que l’on essaie de cacher par des rasades de gnôle ou par du mauvais vin… La guerre dans tout ce qu’elle a de terrible et de cru. Le gaz moutarde qui fait cracher ses poumons, le sifflement des balles et la fureur de ceux qui partent à l’assaut inconscients ou fous de rage.

La censure lit et corrige les lettres, elle veille au moral de l’arrière qui lui aussi est prié de tenir quoi qu’il arrive. L’arrière qui tient grâce aux femmes, aux épouses, aux filles. Comment imaginer l’effort de guerre sans ces combattantes qui ne disent pas leurs noms ? Elles sont dans les champs ou dans les usines et participent à ce qui ne se voit pas mais qui est essentiel.

Des enfers de la Marne, de Verdun ou du chemin des dames, certains réapparaîtront. Etouffés par un déluge de fer, de feu et de sang, il y eu quelques miracles sortis des tranchées. Des hommes pour qui l’heure n’était pas venue et qui reviendront pour témoigner. Abîmés, blessés, meurtris dans leurs chairs et dans leurs âmes, ils réapparaitront comme pour signifier le prix de la liberté aux Français qui n’ont pas combattu. Ces anciens soldats tenteront de reprendre pieds. Oublier, ils ne pourront pas. Il y aura encore bien des cauchemars et des douleurs, il y aura aussi bien des silences.

Et comme si tout cela n’était pas suffisant, la fin de la Première guerre mondiale sera marquée par la pandémie de grippe espagnole. Le virus qui porte d’ailleurs très mal son nom puisqu’il est identifié en réalité aux Etats-Unis, fera environ 100 millions de morts sur la planète. Le sort s’acharne décidément sur le monde. La guerre, la maladie… comment imaginer un avenir meilleur ?

Et pourtant ces hommes et ces femmes du début du XXème siècle ont tenu bon, ils ont fait face aux vents. La guerre a pris fin et la maladie a fini par disparaître.

Notre guerre à nous n’est pas terminée. Le terrorisme reste plus que jamais un ennemi redoutable et la maladie est encore présente. Pour autant, en ce 11 novembre, j’ai la conviction que rien n’est inéluctable. La nature humaine a la capacité de résister, d’affronter les épreuves et de se relever plus forte. Les Français de 2020 ne sont ni meilleurs ni moins bons que ceux de 1918. Il nous faudra encore nous battre sans relâche et sans jamais laisser de terrain ni au terrorisme ni à la maladie. C’est à ce prix que nous serons vainqueurs.

Alors faisons face aux vents !

Frédéric Augis

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11-Novembre : dans le programme de la cérémonie, Emmanuel Macron a prévu deux nouveautés cette année

Pour la commémoration de l’Armistice, le chef de l’État se rend, comme chaque année, sous l’Arc de Triomphe à Paris. Mais deux nouveautés sont ajoutées au programme.

11 NOVEMBRE - Comme tous les ans, le président de la République célèbre ce samedi 11 novembre l’armistice de la Première guerre mondiale .

Cette année est particulière : elle marque le centenaire du premier allumage de la flamme du souvenir sur la tombe du soldat inconnu, sous l’Arc de triomphe à Paris .

Pour marquer le coup, une nouveauté protocolaire a été annoncée par l’Élysée cette semaine  : une veillée « patriotique et populaire » , ouverte à tous, se déroulera à 18 h 30 sous l’Arc de triomphe.

Elle débutera à l’heure à laquelle la flamme avait été allumée pour la première fois en 1923. Un « son et lumière » sera projeté à cette occasion sur le monument parisien, tandis que les porte-drapeaux seront présents.

Une courte adresse à la Nation

Dans la matinée, une autre initiative inédite a été ajoutée au programme habituel. Emmanuel Macron doit en effet prendre la parole pendant quelques minutes lors d’une adresse à la Nation, sous l’Arc de triomphe. « Il entend rappeler aux Français, notamment aux jeunes générations, ce que représente et la flamme, et le soldat inconnu qui repose depuis un siècle sous l’Arc de triomphe » , a-t-il été expliqué lors d’un brief de l’Élysée jeudi.

Avant cela, à partir de 11 heures, le président ravivera la flamme du souvenir sur la tombe du soldat inconnu selon le cérémonial militaire avec les honneurs rendus, le passage en revue des troupes et les hymnes.

Emmanuel Macron en profitera pour rendre également hommage, en présence de leur famille, aux trois soldats français morts pour la France en Irak au mois d’août.

À l’issue de la cérémonie, le chef de l’État recevra à l’Élysée les dirigeants des principales associations patriotiques et mémorielles, ainsi que l’ensemble des membres bénévoles du Comité de la flamme, qui fait vivre le site chaque jour de l’année.

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C’est officiel, Joué-lès-Tours et Ballan Miré s’unissent pour célébrer ensemble la fête nationale édition 2022. Dans le cadre symbolique du lac des Bretonnières, véritable trait d’union entre les deux communes, le maire de Joué-lès-Tours et Président de Tours Métropole Val de Loire, Frédéric Augis, a annoncé avec le maire de Ballan-Miré, Thierry Chailloux, que le feu d’artifice ainsi que le bal populaire seraient réalisés conjointement afin d’offrir aux habitants un spectacle d’autant plus beau. Dans ce bassin de vie, où déjà de nombreux projets sont communs, il était tout naturel d’organiser un événement mutualisé, synonyme de partage et de convivialité, même si la cérémonie en elle-même sera célébrée dans chacune des deux communes, le 13 à Joué-lès-Tours et le 14 à Ballan Miré.

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Photos Besançon : commémoration du 11 novembre, unis pour la paix

Discours de Gérard Mangin, président des anciens combattants du Doubs.

Le public est venu en masse à la cérémonie du 11 Novembre au parc des Glacis à Besançon ce vendredi à 11 h.

Les militaires du 19e Régiment du Génie présents à la cérémonie du 11 Novembre au Parc des Glacis.

Les officiels à la cérémonie du 11 Novembre au Parc des Glacis.

Présentation du drapeau du 19e Régiment du Génie.

La fanfare municipale était présente à la Cérémonie du 11 Novembre au Parc des Glacis.

Le général 3 étoiles Pierrre-Yves Rondeau dirige la 1ère Division.

L'arrivée des élus.

Le général Pierrre- Yves Rondeau passe les troupes en revue.

Médaille de la Légion d'Honneur pour Florian, médecin chef.

Médaille militaire pour le sergent chef Yannick.

Médaille de l'Ordre national du mérite pour le major Guy.

Remise du drapeau par le  général Pierrre-Yves Rondeau à la préparation militaire de la Marine.

Discours de Jean-François Colombet, préfet du Doubs.

Dépot de gerbe par les autorités.

Dépot de gerbe par le préfet Jean-François Colombet.

Sonnerie aux morts.

Une classe du collège Louis Lumière chante « La Marseillaise » à la fin de la cérémonie.

Jean-François Colombet, préfet du Doubs, salue les porte-drapeaux.

Le général Pierrre-Yves Rondeau également.

Jean-François Colombet, préfet du Doubs, devant les autorités militaires, civiles et des habitants de Besançon, a commémoré l'Armistice de la Première Guerre mondiale ce vendredi 11 novembre 2022. Le préfet a rappelé l'immense sacrifice des poilus , des civils lors de ce conflit de 1914-1918. Des souffrances passées qui doivent guider les générations futures dans la préservation de la paix. Une paix fragile.

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Cérémonies du 11 novembre 2022

• Solidarité et mémoire

La Ville de Tournai, l'Interassociation Royale des Sociétés patriotiques de Tournai et le Relais de la Mémoire organisent les cérémonies du l'Armistice du 11 novembre sur toute l'entité auxquelles vous êtes toutes et tous conviés. La préservation de la Mémoire et l'éducation étant essentielles, quinze cérémonies patriotiques en présence d'enfants des écoles communales et libres de l'entité auront lieu du 7 au 14 novembre.

Onze rendez-vous sont fixés pour la population :

• Ere : commémoration le dimanche 6 novembre à 11h au Monument aux Morts ;
• Thimougies : commémoration le vendredi 11 novembre à 9h au Monument aux Morts ;
• Ramegnies-Chin : commémoration le vendredi 11 novembre à 10h au Monuments aux Morts ;
• Tournai : le cortège dans le centre-ville démarrera le vendredi 11 novembre à 11h au monument Gabrielle Petit (place Clovis) pour se diriger vers le Monument aux Morts (avenue Van Cutsem) et le Tertre des Vendéens. En raison des travaux à la place Crombez, l'hommage au Roi Albert et à la Reine Elisabeth aura lieu devant les Vendéens ;
• Mont Saint-Aubert : commémoration le vendredi 11 novembre à 11h au Monument aux Morts ;
• Templeuve : commémoration le vendredi 11 novembre à 11h au Monument aux Morts ;
• Vezon : commémoration le vendredi 11 novembre à 11h au Monument aux Morts et au cimetière ;
• Warchin : commémoration le vendredi 11 novembre à 11h au Monument aux Morts ;
• Lamain : commémoration le vendredi 11 novembre à 15h au Monument aux Morts et au cimetière ;
• Orcq : commémoration le samedi 12 novembre à 16h au cimetière et au Monument aux Morts ;
• Froidmont : commémoration le samedi 12 novembre à 19h au Monument aux Morts.

Cérémonie nationale du jour du Souvenir

Tous les ans, la Légion royale canadienne organise la Cérémonie nationale du jour du Souvenir au Monument commémoratif de guerre du Canada au centre-ville d’Ottawa en souvenir des hommes et des femmes qui ont servi dans l’Armée canadienne. La cérémonie commence vers 10 h 45 avec l’arrivée des dignitaires, notamment le premier ministre, le gouverneur général du Canada, et la Mère nationale de la Croix d’argent, qui représente les mères de soldats canadiens morts en service. Également au programme : hymne national, observation des deux minutes de silence, cérémonie de dépôt de couronnes et impressionnant survol des avions de chasse (si la météo le permet).

Le public peut soutenir la cause en achetant des couronnes . Celles-ci seront placées à l’avance par le personnel autour du Monument commémoratif de guerre du Canada afin de servir de symbole visuel pendant la cérémonie. Vous pouvez également communiquer avec la filiale de la Légion de votre région pour acheter une couronne qui sera déposée dans le cadre d’une activité de commémoration locale. Toutes les recettes seront versées au Fonds du Coquelicot de la Légion pour soutenir les vétérans du Canada et les membres de leur famille.

Plus de détails

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