2e tour elections presidentielles 2022

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Les résultats du second tour de l’élection présidentielle

Emmanuel Macron a été réélu président, dimanche 24 avril, avec 58,54 % des voix face à Marine Le Pen (41,46 %), au terme d’une campagne marquée par la guerre en Ukraine et la question du pouvoir d’achat. Prochain rendez-vous électoral pour lequel le suspense reste entier : les élections législatives des 12 et 19 juin.

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Résultats du second tour de l'élection présidentielle 2022

Description

Les résultats du second tour (2ème tour) de l' élection présidentielle 2022 sont enfin disponibles. Découvrez tous les résultats du scrutin du 24 avril 2022. Ces résultats sont disponibles dans votre commune, département ou région, et un focus pour chaque candidat (Emmanuel Macron, Marine Le Pen).

Résultats de la présidentielle 2022 par candidat :

• Résultats élection présidentielle Emmanuel Macron 2022
• Résultats élection présidentielle Marine Le Pen 2022

Résultats de la présidentielle 2022 par commune

• Résultats élection présidentielle Paris 2022
• Résultats élection présidentielle Marseille 2022
• Résultats élection présidentielle Lyon 2022
• Résultats élection présidentielle Toulouse 2022
• Résultats élection présidentielle Nice 2022
• Résultats élection présidentielle Nantes 2022
• Résultats élection présidentielle Montpellier 2022
• Résultats élection présidentielle Bordeaux 2022
• Résultats élection présidentielle Strasbourg 2022
• Résultats élection présidentielle Lille 2022

Résultats de la présidentielle 2022 par département

• Résultats élection présidentielle Nord 2022
• Résultats élection présidentielle Bouches du Rhône 2022
• Résultats élection présidentielle Rhône 2022
• Résultats élection présidentielle Pas de Calais 2022
• Résultats élection présidentielle Gironde 2022
• Résultats élection présidentielle Loire Atlantique 2022
• Résultats élection présidentielle Hauts de Seine 2022
• Résultats élection présidentielle Yvelines 2022
• Résultats élection présidentielle Haute Garonne 2022

Résultats de la présidentielle 2022 par région

• Résultats élection présidentielle Ile de France 2022
• Résultats élection présidentielle Auvergne Rhône Alpes 2022
• Résultats élection présidentielle Nouvelle Aquitaine 2022
• Résultats élection présidentielle Hauts de France 2022
• Résultats élection présidentielle Occitanie 2022
• Résultats élection présidentielle Grand Est 2022
• Résultats élection présidentielle Provence Alpes Côte d'Azur 2022
• Résultats élection présidentielle Pays de la Loire 2022
• Résultats élection présidentielle Bretagne 2022
• Résultats élection présidentielle Normandie 2022

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Date de création

25 avril 2022

Dernière mise à jour

30 avril 2024

1 jeu de données

Election présidentielle des 10 et 24 avril 2022 - résultats du second tour.

Par Ministère de l'Intérieur et des Outre-Mer

Résultats du 2nd tour de l’élection présidentielle 2022, France entière,métropole, outre-mer,régions, départements,communes et circonscriptions législatives. Ces résultats sont ceux de la soirée électorale. Les résultats définitifs seront proclamés par le Conseil constitutionnel

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Mis à jour le 25 avril 2022

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Présidentielle 2022: dates, candidats, résultats, le mode d’emploi de l’élection

Les dates de l’élection présidentielle 2022.

C’est le sommet de la vie démocratique française, tous les cinq ans. L’élection présidentielle 2022 a lieu en France le 10 avril, pour le premier tour, et le 24 avril, pour le second tour.

Les candidats

Douze candidats sont en lice au premier tour de l’élection présidentielle 2022. Par ordre alphabétique: Nathalie Arthaud, Nicolas Dupont-Aignan, Anne Hidalgo, Yannick Jadot, Jean Lassalle, Marine Le Pen, Emmanuel Macron, Jean-Luc Mélenchon, Valérie Pécresse, Philippe Poutou, Fabien Roussel, Eric Zemmour. Ils ont tous réussi à réunir au moins 500 parrainages , la condition incontournable fixée par le Conseil constitutionnel, après quelques frayeurs pour certains.

Les règles de la campagne officielle

La campagne officielle a débuté le 28 mars . A partir de cette date, l’égalité du temps de parole de tous les candidats doit être scrupuleusement respectée à la télé et à la radio. Tous les meetings et toutes les prises de parole sont donc rigoureusement décomptés. Les chaînes publiques diffusent aussi les clips de campagne des candidats. Et les panneaux d’affichage officiel sont mis en place, selon un ordre résultant d’un tirage au sort, avant l’envoi postal des professions de foi, sur lesquelles les Français pourront retrouver l’essentiel des programmes des candidats.

Au soir du vendredi 8 avril, à minuit, tous les micros sont coupés. Aucun candidat ne peut s’exprimer pendant cette période de réserve, qui prend fin après le premier tour, et aucun sondage ne peut être diffusé. Du 11 au 22 avril, la campagne du second tour reprend les mêmes règles. Le traditionnel débat d’entre-deux-tours , entre les deux finalistes, aura lieu le 20 avril.

Les règles électorales

L’élection présidentielle est un scrutin uninominal majoritaire à deux tours, à moins qu’un candidat dépasse la barre des 50% dès le premier tour. Tous les Français âgés de plus de 18 ans et inscrits sur les listes électorales ont le droit de vote. L’inscription sur les listes électorales était possible jusqu’au 2 mars (en ligne) ou 4 mars (date de réception du document papier en mairie). Pour cette élection présidentielle 2022, 48,7 millions de Français sont inscrits sur les listes électorales, soit 95% des Français en âge de voter.

Si on ne peut pas se rendre au bureau de vote les 10 et 24 avril, il est possible de voter par procuration , en désignant un mandataire et en faisant la démarche via un service en ligne ou un formulaire, puis avec un dépôt dans un commissariat, une gendarmerie ou un consulat, jusqu’à la veille du scrutin.

Le contexte

Cette élection présidentielle 2022 est marquée par un contexte inédit, avec une pandémie de Covid encore présente et la guerre en Ukraine . Des éléments qui accaparent les esprits et qui font craindre une forte abstention , en reléguant souvent au second plan les thématiques de la campagne.

Concernant le Covid, le port du masque n’est pas obligatoire pour aller voter . Il est seulement recommandé pour les personnes ayant été testés positives, jusqu’à sept jours après leur sortie d’isolement, les cas contacts à risques, les individus fragiles ou symptomatiques. Des masques chirurgicaux sont mis à la disposition des électeurs et des personnes participant à l’organisation ou au déroulement du scrutin, dans tous les bureaux de vote.

Les sondages

Très nombreux dans les mois et les semaines qui précèdent l’élection, les sondages aident les candidats à adapter leurs stratégies et, peut-être, les électeurs indécis à se positionner, tout en alimentant les médias et les débats. Emmanuel Macron, le président sortant, a toujours figuré en tête dans les sondages (environ 28% au premier tour). Marine Le Pen se détache en deuxième position (22%), réduisant même l’écart dans les intentions de vote au second tour, avec 47% contre 53% pour Emmanuel Macron. Selon les sondages, Jean-Luc Mélenchon (14%) est susceptible de devancer Valérie Pécresse et Eric Zemmour, qui descendraient sous la barre des 10%.

Les résultats

Les bureaux de vote ferment, pour l’essentiel, à 19 heures les 10 et 24 avril, ou une heure plus tard dans les grandes villes par dérogation. A partir de 20 heures, et pas avant sous peine d’amende, les résultats de l’élection présidentielle sont annoncés par les médias, avec les estimations des instituts de sondage à la sortie des urnes. Après les remontées des bureaux de vote, le ministère de l'Intérieur communique les résultats officiels dans la soirée. RMC et BFMTV sont bien sûr mobilisés pleinement pour faire vivre ces deux soirées électorales.

La prise de fonctions du président

Le 27 avril, soit trois jours après l’élection, le Conseil constitutionnel rend sa décision validant les résultats et proclamant officiellement le nouveau président de la République. La prise de fonction de la personne nouvellement élue se fait au plus tard le dernier jour du mandat du président sortant, soit le 13 mai cette année.

Présidentielle 2022 : actualités et débats

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Élections législatives 2024 : qui sont les candidats en lice en Nouvelle-Calédonie ?

La période de dépôt des candidatures a été officiellement close dimanche 16 juin, à 18 heures. Et lundi soir, le haut-commissariat de la République diffusait la liste définitive des différents prétendants aux législatives anticipées. 

Dans la première circonscription

La première circonscription couvre Nouméa, l'île des Pins et les Loyauté. Les douze candidats suivants sont en lice : 

• Philippe Dunoyer - Calédonie Ensemble (suppléante : Annie Qaeze)
• Nicolas Metzdorf - Loyalistes et Rassemblement (suppléante : Françoise Suvé)
• Juanita Ciane Angexetine, épouse Railati -   (suppléant : Josué Cimutru)
• Omayra Naisseline - Union calédonienne (suppléante : Laurie Humuni)
• Thomas Nasri - (suppléant : Thierry-Jehan Chaverot)
• Manuel Millar - (suppléant Patrick Jacob)
• Pierre-Henri Cuenot- (suppléant Valérie Quinquis)
• Muneiko Haocas - Mouvement nationaliste indépendantiste et souverainiste (suppléant : David Yeiwié)
• Simon Loueckhote - Rassemblement national (suppléante : Suzanne Maiau Sefa)
• Germaine Toléta Nemia épouse Bishop - (suppléant Joël Cabali Bae)
• Veylma Falaeo - Éveil Océanien (suppléant : Olivier Capecchi)
• Cédric Devaud- (suppléant Jules Tufele)

Dans la seconde circonscription

La seconde circonscription rassemble le reste de la Grande terre et Belep. Les six candidats :

• Milakulo Tukumuli -  Éveil océanien (suppléant : Patrick Robelin)
• Emmanuel Tjibaou - Union calédonienne (suppléante : Amandine Darras)
• Ronald Frère - (suppléante : Muriel Eurisouke)
• Luther Voudjo - Mouvement nationaliste indépendantiste et souverainiste (suppléante : Chrystèle Marie)
• Alcide Ponga -  Loyalistes et Rassemblement (suppléante : Elizabeth Rivière)
• Gérard Poadja - Calédonie Ensemble (suppléante : Corine Voisin)

Attardons-nous à présent sur les personnalités qui se lancent dans la course.

Calédonie ensemble

Le mouvement est le premier à avoir annoncé une candidature à ces législatives anticipées. Celle du député sortant Philippe Dunoyer dans la première circonscription. À la clôture des dépôts de dossier, ce dimanche soir, il a fait savoir que Gérard Poadja se présentait par ailleurs dans la seconde circonscription. Des "candidats du dialogue, du consensus et de la paix",  formule Calédonie ensemble, "avec le soutien d’Horizons" , le parti de l'ancien Premier ministre Edouard Philippe.

• Philippe Dunoyer

Il a dévoilé ses intentions dès le 10 juin, au lendemain de la dissolution de l'Assemblée nationale. Lors de son passage au journal télévisé , Philippe Dunoyer a expliqué faire campagne pour aboutir à un objectif prioritaire : "renouer les fils du dialogue dans un dialogue tripartite comme en 1988 et en 1998".

Le député sortant, qui était investi par la majorité présidentielle, se dit "convaincu qu'un chemin de paix est encore possible et que beaucoup de Calédoniens aspirent au vivre-ensemble".  Le parlementaire tentera de conserver la première circonscription, qui lui avait accordé 40,83   % des suffrages au premier tour puis 66,40   % au second tour en 2022. 

L'ancien directeur de cabinet de Philippe Gomès s'est fait connaître des Calédoniens, notamment, en tant que porte-parole du gouvernement et membre de l'équipe municipale à Nouméa dans les années 2010. Âgé de 56 ans, il brigue un troisième mandat consécutif en tant que député. Sa suppléante est Annie Qaeze, conseillère de la province Sud et huitième vice-présidente du Congrès.  

• Gérard Poadja

Dans la seconde circonscription, c'est un ancien sénateur qui envisage d'être député. Gérard Poadja, soixante ans, n'a pas été reconduit au palais du Luxembourg , en septembre 2023. Il regarde désormais vers le palais Bourbon, avec pour suppléante l'ex-maire de La Foa, Corine Voisin.

Membre de Calédonie ensemble depuis quinze ans, le natif de Koné, originaire de la tribu de Poindah, a fait valoir au fil de son parcours sa condition de Kanak non-indépendantiste, défenseur de l'unité. Gérard Poadja a présidé le Congrès de la Nouvelle-Calédonie, d'août 2012 à août 2013. 

Loyalistes et Rassemblement

• Nicolas Metzdorf

Allié de Philippe Dunoyer lors des législatives de 2022, Nicolas Metzdorf, 36 ans, sera cette fois son adversaire. Le député sortant de la seconde circonscription a fait le choix de se reporter sur la première , pour les élections à venir. Invité de notre journal télévisé jeudi , il a indiqué vouloir "défendre la voix des Calédoniens qui ont choisi par trois fois de rester Français, des Calédoniens qui refusent la haine et la violence, de ceux qui ont tout perdu et de ceux qui veulent vivre ensemble en paix en Nouvelle-Calédonie" .

Le changement de circonscription l'empêchera-t-il de bénéficier à nouveau de l'investiture de Renaissance   ? "Ce n'est pas ce qui compte" , a estimé le parlementaire sur notre plateau. "C'est un débat très national et ici, ce qui compte, c'est quel est le projet pour la suite" , a-t-il conclu. Sa suppléante est Françoise Suvé, présidente du groupe Loyalistes au Congrès.

Après avoir assuré notamment le porte-parolat du gouvernement à la fin des années 2010, l'ancien membre de Calédonie ensemble a choisi de créer son propre parti, Générations NC, suite aux provinciales de 2019. Dans la foulée, il a remporté la mairie de La Foa . Avant de se faire élire député de la deuxième circonscription, avec 33,71   % des voix au premier tour puis 54,23   % au second. Il y a quelques mois, Nicolas Metzdorf était nommé rapporteur du projet de loi constitutionnelle sur le dégel du corps électoral.

• Alcide Ponga

Allié des Loyalistes pour cette élection, le Rassemblement concentrera sur ses efforts sur la deuxième circonscription, où son président Alcide Ponga tentera de convaincre les électeurs. "C'est une responsabilité que j'ai accepté de porter, car le moment est important",   a-t-il assuré lors de l'annonce de sa candidature, lançant " une condamnation ferme des actes de violence " et appelant " les Calédoniens à faire un acte politique ".

Un saut dans le grand bain, pour le maire de Kouaoua. Il n'avait jusqu'à présent jamais pris part à des élections menant à la représentation nationale. Issu d'une famille attachée au maintien de la Calédonie dans la France, le quinquagénaire a progressivement gravi les échelons de son parti. Jusqu'à en devenir le président par interim après le départ surprise de Thierry Santa fin 2022, puis d'être confirmé dans sa fonction par les militants en avril dernier. Sa suppléante est Elizabeth Rivière, présidente de la CMA, la Chambre de métiers et de l'artisanat, et adjointe au maire du Mont-Dore. 

Au-delà de ses fonctions politiques, Alcide Ponga, 49 ans, n'est pas inconnu des travailleurs du nickel. Cadre des ressources humaines de la SLN dans les années 2000, il avait ces dernières années rejoint KNS, occupant d'abord le poste de directeur des relations extérieures puis celui de conseiller spécial auprès de la direction de l'entreprise.

Rassemblement national

• Simon Loueckhote

Sa candidature est certainement la plus surprenante de ces législatives 2024. Simon Loueckhote, 67 ans, prendra part à la campagne dans la première circonscription, sous l'étiquette du Rassemblement national, a annoncé le président du bureau calédonien du parti , Alain Descombels, ce vendredi.

"Il a une vraie expérience et connaît beaucoup de monde. Son objectif est de renouer les fils du dialogue avec les indépendantistes ", a-t-il argué, affirmant que Simon Loueckhote veut "remettre tout à plat" et faire des propositions pour le statut du territoire. L'une des anciennes figures majeures de la scène non-indépendantiste calédonienne, signataire de l’Accord de Nouméa, s'apprête donc à tenter un retour dans l'arène politique, après une dizaine d'années marquées par une relative discrétion.  

Plus jeune sénateur de France en 1992, le fidèle de Jacques Lafleur avait quitté le palais du Luxembourg dix-neuf ans plus tard, en 2011. Passé également par la présidence du Congrès, Simon Loueckhote s'est éloigné de la droite traditionnelle locale au cours des années 2010, soutenant Eric Zemmour lors des dernières élections présidentielles. Dans ces législatives, sa suppléante est Suzanne Maiau Sefa.

Pas de candidature RN dans la seconde circonscription.

Eveil océanien

• Milakulo Tukumuli

À l'instar d'Alcide Ponga, lui aussi s'apprête à participer à ses premières élections d'envergure nationale. Milakulo Tukumuli a officialisé sa candidature dans la seconde circonscription ce samedi 15 juin, insistant sur la nécessité de sortir des clivages actuels. "L a Calédonie a besoin, dans ce contexte d’instabilité, de représentants qui défendront le pays et non des sensibilités politiques ", a-t-il affirmé lors de son discours de présentation. Avec une surprise, en la personne de son suppléant   qui est Patrick Robelin, maire de Bourail.

Co-fondateur de l'Eveil océanien, le mathématicien de profession a gagné en influence depuis son lancement en politique il y a six ans. Et ce grâce, notamment, au rôle-pivot de son parti au Congrès. Porteurs de la philosophie du "non, pas maintenant" lors des référendums d'autodétermination, Milakulo Tukumuli et les autres membres de son mouvement se sont depuis rapprochés de la majorité indépendantiste, avec l'assurance de pouvoir porter des projets de réforme pour le territoire.

Le dernier en date, celui visant à redresser les comptes du Ruamm, n'a jamais pu être entériné en raison du mouvement de contestation porté par le collectif Agissons solidaires. Plus récemment, le natif de Thio semblait davantage porté sur le projet d'un accord politique global. "Notre pays est devenu une poudrière. Quand je regarde les images, je ne peux m'empêcher d'être triste, je pensais que ça appartenait au passé" , déplorait-il en avril dernier, lors d'un passage dans notre journal télévisé .

• Veylma Falaeo

"Est-ce que nous voulons les mêmes représentants, avec les mêmes pensées, qui nous ont emmenés à la situation ainsi créée ?" , renchérit Veylma Falaeo. "Je pense qu'aujourd'hui, la 'troisième voie doit être entendue. Nous n’avons pas besoin de chefs de file de guerre, mais des semeurs de paix." La secrétaire générale de l'Eveil océanien postule pour la première circonscription. Son suppléant est Olivier Capecchi, un entrepreneur calédonien. 

Veylma Falaeo est élue de l'assemblée provinciale Sud et sixième vice-présidente du Congrès. Celle qui a grandi dans le quartier de Rivière-Salée est également conseillère municipale à Nouméa.

Mouvement nationaliste indépendantiste souverainiste

• Muneiko Haocas

Elle préside le MNIS depuis 2020. Muneiko Haocas, 34 ans, briguait le fauteuil de député e dans la seconde circonscription, en 2022. Cette fois, elle se présente dans la première, toujours suppléée par David Yeiwié. Pour le Mouvement nationaliste indépendantiste souverainiste, " il est temps d’adapter la vision indépendantiste aux défis de notre temps   : l’interdépendance économique, géopolitique et sociale en faveur d’une construction citoyenne autour d’un projet kanak partagé et inclusif pour tous".

Originaire de la tribu de Josip, à Lifou, Muneiko Haocas est consultante en communication. Lors des législatives 2022, elle a obtenu 3,39   % des suffrages exprimés.

• Luther Voudjo

Le MNIS est apparu après la première consultation d'autodétermination prévue par l'Accord de Nouméa, celle du 4 novembre 2018. Luther Voudjo a été président fondateur de ce mouvement désireux de redéfinir et renouveler le vote indépendantiste. En 2019, il menait une liste aux provinciales, dans le Sud. Cet ancien professeur d'histoire-géo, juriste, se présente aux législatives dans la seconde circonscription avec pour suppléante Chrystèle Marie. Il a été directeur de l'Asee, l'Alliance scolaire de l'église évangélique, de mars 2022 à octobre 2023.   

Union calédonienne

Enfin, après le report de son congrès , le FLNKS allait-il présenter une ou plusieurs candidature(s) pour les législatives ? La réponse est tombée ce dimanche soir. Il n'y a pas de candidature concertée du front indépendantiste.

• Omayra Naisseline

Mais l'Union calédonienne a choisi Omayra Naisseline, élue Dynamique autochtone-LKS à la province des îles Loyauté dont elle est troisième vice-présidente, conseillère UC-FLNKS et Nationalistes au Congrès, par ailleurs présidente du conseil d'administration de l'Agence rurale . Âgée de 38 ans, elle se présente avec Laurie Humuni, suppléante qui fait partie du Rassemblement démocratique océanien.  

• Emmanuel Tjibaou

Dans la seconde circonscription, l'UC accorde sa confiance à Emmanuel Tjibaou, directeur de la culture de la province Nord et ancien directeur de l'ADCK, l'Agence de développement de la culture kanak qui gère le centre culturel Tjibaou à Nouméa. Sa suppléante est Amandine Darras, élue FLNKS à l'assemblée provinciale Sud.

Enfin, pas de candidature du Palika, ni dans la première, ni dans la seconde circonscription. 

Plus de précisions à venir

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Législatives 2024. Découvrez tous les candidats dans le Jura et dans votre circonscription

Qui est candidat dans le département du Jura de Dole, Arbois, Poligny, Lons-le-Saunier ou Saint-Claude à se présenter au premier tour des élections législatives anticipées le 30 juin ? RN, Républicains, majorité présidentielle, Nouveau front populaire, LFI, écologistes... Découvrez qui se présente.

Voici la liste des candidats aux législatives pour le premier tour. Nous avons utilisé la nomenclature du Ministère de l'Intérieur pour les étiquettes politiques des candidats. L'Union de la gauche correspond au Nouveau Front propulaire, l'extrême gauche c'est Lutte Ouvriere, les macronistes se présentent sous la bannière Ensemble !  

A lire aussi : Comment voter par procuration ? 4 précieux conseils pour donner de sa voix aux législatives 2024

JURA -  1ʳᵉ circonscription - Lons-le-Saunier - Poligny

Qui est candidat ?

4 candidats se présentent dans cette circonscription :

• Valérie GRABY - Rassemblement National
• Anthony BRONDEL - Union de la gauche
• Johanne MOREL - Extrême gauche
• Danielle BRULEBOIS - Ensemble ! (Majorité présidentielle) - députée sortante

En 2022,  lors des précédentes législatives , Danielle Brulebois, candidate de la majorité présidentielle avait été réélue au second tour avec 56,22% des suffrages exprimés, contre 43,78% pour le candidat de la Nupes-La France Insoumise Anthony Blondel. C'est une circonscription historiquement à droite.

JURA -  2e circonscription - Saint-Claude - Champagnole

Qui est candidat ? 

6 candidats se présentent dans cette circonscription :

• André BIGOT - Reconquête !
• Evelyne TERNANT - Union de la gauche
• Christian MARCHET - Extrême gauche
• Patrick LANCON - Droite souverainiste
• Thierry MOSCA - Rassemblement National
• Marie-Christine DALLOZ - Les Républicains - députée sortante

En 2022,  lors des précédentes législatives , Marie-Christine Dalloz des Républicains avait été réélue au second tour avec un score de 62,10% des suffrages, devant Evelyne Ternant, Nupes-PCF 37,90% des voix.

JURA -  3e circonscription - Dole-Arbois

• Hervé PRAT - Union de la gauche
• Dominique REVOY - Extrême gauche
• Justine GRUET - Les Républicains - députée sortante
• Aurore VUILLEMIN-PLANCON - Rassemblement National

En 2022,  lors des précédentes législatives , Justine Gruet (LR) avait été élue au second tour député avec 58,46% des suffrages exprimés devant Hervé Prat de la Nupes-EELV, 41,54%. Elle succédait alors à Jean-Marie Sermier, député LR du Jura.

Justine Gruet, candidate des Républicains était arrivée en tête au premier tour avec 25,62% des suffrages. Hervé Prat avait obtenu 24,84% des suffrages.

577 députés à élire en France, le RN en force dans le Jura aux européennes

Rappelons que lors de ces législatives, nous élirons 577 députés en France pour un mandat de 5 ans. C’est une élection qui se déroulera en deux tours sauf si l’un des candidats remporte plus de 50% des suffrages dès le premier tour dans une circonscription. Pour pouvoir se maintenir au second tour, un candidat doit obtenir au premier tour un nombre de voix au moins égal à 12,5% du nombre d’électeurs inscrits dans la circonscription.

Dans le département du Jura, dimanche 9 juin lors des élections européennes, les électeurs ont fait le choix de placer en tête la liste du Rassemblement National de Jordan Bardella, réunissant plus de 34% des voix.

Qui est candidat dans les autres départements de Franche-Comté ?

Les candidats dans le Doubs

Les candidats en Haute-Saône

Les candidats dans le Jura

Les candidats dans le Territoire de Belfort

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Forte participation attendue aux élections législatives : « Les Français ont parfaitement compris l’enjeu »

Brice Teinturier, directeur général délégué d’Ipsos, analyse les résultats de notre sondage sur les législatives anticipées, qui voit le RN arriver en tête au 1er tour. Avec une participation forte des Français.

Pour le directeur général délégué d’Ipsos, la possibilité d’une alternance au pouvoir à l’issue de ces élections législatives (1er tour le 30 juin, 2e tour le 7 juillet) mobilise fortement les électeurs, de gauche comme de droite. Analyse.

Notre sondage montre une forte participation attendue pour ces législatives. À quoi est dû cet engouement ?

BRICE TEINTURIER . Les Français ont parfaitement compris l’enjeu de ces élections : une alternance est possible sans attendre 2027. Des millions d’électeurs, qu’ils penchent à gauche ou à droite, peuvent légitimement se dire qu’une autre politique pourrait être mise en œuvre dans deux semaines. Cette perspective change la donne. Avec un taux potentiel de participation de 62 %, on a déjà un bond de plus de quatorze points par rapport aux dernières législatives de 2022 ― avec 47,5 %, elle avait été particulièrement faible.

À qui pourra-t-elle profiter ?

C’est difficile à mesurer, car on a le sentiment, à voir nos chiffres, que la remobilisation concerne toutes les catégories. Les jeunes ― notamment les 18-24 ans qui voteraient nettement plus qu’aux européennes ― comme les moins jeunes, les différentes catégories socioprofessionnelles, ainsi que toutes les familles politiques. Que l’on soit électeur du Rassemblement national ou du Nouveau Front populaire (NFP), le sentiment de colère, d’atonie ou d’attentisme face à un quinquennat qui paraissait figé jusqu’en 2027 a laissé place à l’idée que tout peut bouger. Il y a aussi, naturellement, une mobilisation par antagonisme, pour barrer la route au RN ou, inversement au NFP et plus particulièrement à la France Insoumise.

En termes d’intentions de vote, l’extrême droite reste largement en tête avec 31,5 % des voix…

Le RN garde son niveau des européennes , auquel s’ajoutent d’autres forces, les électeurs emmenés par Éric Ciotti, qui pèsent 4 %, portant le total à 35,5 %. Un score en léger tassement par rapport aux 38 % du 9 juin, mais en ajoutant les 2 % de Reconquête on retrouve quasiment le même niveau, 37,5 %. Et si l’on rapporte les 4 % au fait que ces candidats ne sont présents que dans 62 circonscriptions, on en déduit qu’ils devraient y réussir un très bon score. En clair, cela pourrait déboucher sur un nombre conséquent de députés Ciottistes/RN , ce qui pourrait favoriser une majorité absolue ou conforter une majorité relative.

Et la gauche ?

Avec 29,5 % d’intentions de vote elle peut paraître élevée, mais c’est en deçà du total gauche aux européennes (31,6). S’il n’y a pas d’augmentation en niveau, il y a en revanche un gain d’efficacité, puisque ces intentions de vote sont concentrées sur le Nouveau Front populaire et non pas dispersées. En conséquence, on peut s’attendre pour le second tour à une prédominance des duels RN/NFP.

Au détriment de la coalition présidentielle, Ensemble ?

Ensemble progresse, passant de 14,6 % aux européennes à 19 %, mais reste loin de son score aux législatives de 2022 (25,7 %) et surtout, loin derrière le bloc de gauche et plus encore le RN. Si son niveau ne s’améliore pas, il sera donc éliminé dans de très nombreuses circonscriptions. Le camp Macron récupère malgré tout une part des électeurs de Glucksmann aux européennes . Des macronistes de la présidentielle 2022, qui étaient partis à gauche par rejet notamment de la loi immigration et de la réforme des retraites , et qui reviennent aujourd’hui par rejet de l’alliance avec LFI. Mais l’immense majorité de ceux qui ont voté Glucksmann accepte le NFP : l’aspiration à l’unité à gauche est très forte.

Autre indicateur intéressant, 59 % des Français pronostiquent une victoire du Rassemblement national et de ses alliés. Ils estiment que le match est déjà joué ?

Le fait qu’une large majorité la pronostique ne signifie pas forcément qu’elle la souhaite. Mais c’est une preuve supplémentaire que le RN ne fait plus aussi peur qu’avant : cette perspective ne les inquiète pas suffisamment pour les surmobiliser en faveur des deux autres blocs, Renaissance et le NFP, afin de lui barrer la route. Peut-être est-ce dû au fait que la plupart (39 %, sur les 59 % pronostiquant sa victoire) le voient gagner avec une majorité relative, ce qui leur paraît moins inquiétant que l’hypothèse d’une majorité absolue . Et en sens inverse, le programme du NFP inquiète aussi le centre et la droite.

Il reste une semaine de campagne, les choses peuvent bouger ?

Oui, dans un contexte politique aussi nouveau, et avec un tel niveau de mobilisation, rien n’est figé. Quand vous regardez le souhait de victoire, Ensemble, notamment, a encore un potentiel de progression. Des dynamiques sont à l’œuvre.

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What to know about Russia’s presidential election, set to give Putin another six-year term

Vladimir Putin has moved to prolong his repressive and unyielding grip on Russia for at least another six years, announcing his candidacy in the presidential election next March that he is all but certain to win. (Dec. 8)

FILE - The Kremlin, left, and St. Basil Cathedral, center right, are reflected in the Moskva River during sunset in Moscow, Russia, Wednesday, May 20, 2020. Russia’s 2024 presidential elections aren’t expected to bring change to the Kremlin. (AP Photo/Pavel Golovkin, File)

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FILE - Acting Russian President and presidential candidate Vladimir Putin prepares to cast his voting ballot at a polling station in Moscow Sunday, March 26, 2000. Voting in Russia’s 2024 presidential elections will take place over three days between March 15-17. It is the first presidential election in Russia when polls will be open for three days instead of one. (AP Photo/Alexander Zemlianichenko, File)

FILE - Russian President Vladimir Putin casts his ballot at a polling station in Moscow, Sunday, March 14, 2004. With most opposition figures either in jail or abroad and many independent media outlets blocked, the Kremlin maintains a tight control over the country’s political system and the vote is all but guaranteed to see President Vladimir Putin, 71, cement his place in power until at least 2030. (AP Photo/Alexander Zemlianichenko, File)

FILE - Russian Communist presidential candidate Nikolai Kharitonov, left, casts his ballot as his wife Nina, right, looks on at a polling station in Moscow, Sunday, March 14, 2004. Kharitonov previously ran against Putin in 2004, finishing a distant second. (AP Photo/Ivan Sekretarev, File)

FILE - Russian Prime Minister and presidential candidate Vladimir Putin casts his ballot in Moscow on Sunday, March 4, 2012. Voting in Russia’s 2024 presidential elections will take place over three days between March 15-17. It is the first presidential election in Russia when polls will be open for three days instead of one. (AP Photo/Misha Japaridze, Pool, File)

FILE - Russian President and Presidential candidate Vladimir Putin exits a polling booth as he prepares to cast his ballot during Russia’s presidential election in Moscow, Russia, Sunday, March 18, 2018. Russia’s 2024 presidential elections aren’t expected to bring change to the Kremlin. (Yuri Kadobnov/Pool Photo via AP, File)

FILE - In this Monday, May 7, 2018 file photo, Vladimir Putin enters to take the oath during his inauguration ceremony as Russia’s new president in the Grand Kremlin Palace in Moscow, Russia. With most opposition figures either in jail or abroad and many independent media outlets blocked, the Kremlin maintains a tight control over the country’s political system and the vote is all but guaranteed to see President Vladimir Putin, 71, cement his place in power until at least 2030. (AP Photo/Alexander Zemlianichenko, Pool, File)

FILE - People walk in front of a tv screen showing Russian President Vladimir Putin during his annual state of the nation address in Sevastopol, Crimea, Tuesday, Feb. 21, 2023. In February 2024, Russia’s central election committee said that some 112.3 million people were eligible to vote in Russia and Russian-occupied areas of Ukraine. (AP Photo, File)

FILE - Russian President Vladimir Putin attends a meeting with his election campaign activists in Moscow, Russia, Wednesday, Jan. 31, 2024. Voting will largely be carried out in Russia at polling stations over three days between March 15-17. (AP Photo/Alexander Zemlianichenko, Pool)

This week’s election in Russia is expected to cement President Vladimir Putin’s grip on power until at least 2030.

Any opposition figures who could have challenged him are either in prison or exiled abroad. Independent media outlets that could show criticism of his policies have been blocked. And the Kremlin maintains rigid control over the political system and electoral process in the country of 146 million.

The Kremlin, left, and St. Basil Cathedral, center right, are reflected in the Moskva River during sunset in Moscow, Russia, Wednesday, May 20, 2020. (AP Photo/Pavel Golovkin, File)

Still, the Russian election will be closely watched by those looking for insight into the major nuclear power as it continues its 2-year-old full-scale invasion of Ukraine .

Here’s what you need to know about the upcoming election , how voting works, who is on the ballot and whether the vote will be free and fair.

WHO CAN VOTE IN THE RUSSIAN ELECTION?

Any Russian citizen over age 18 who is not in prison on a criminal conviction can vote. The Central Election Commission says there are 112.3 million eligible voters inside Russia and Russian-occupied parts of Ukraine, and another 1.9 million eligible voters live abroad.

Turnout in Russia’s 2018 presidential election was 67.5%, although observers and individual voters reported widespread violations, including ballot-box stuffing and forced voting. Turnout in the 2021 parliamentary election was 51.7%.

HOW WILL VOTING UNFOLD?

Voting across the vast country will largely be carried out starting Friday and ending Sunday. It is the first time in a Russian presidential election that polls will be open for three days instead of one.

Russia first used multiple-day voting in the 2020 referendum on constitutional reforms orchestrated by Putin to allow him to run for two more terms.

Over 50 countries go to the polls in 2024

• The year will test even the most robust democracies. Read more on what’s to come here .
• Take a look at the 25 places where a change in leadership could resonate around the world.
• Keep track of the latest AP elections coverage from around the world here.

It’s also the first presidential election to use online voting — the option will be available in 27 Russian regions and Crimea, which Moscow illegally seized from Ukraine 10 years ago.

The vote will also take place in Donetsk, Luhansk, Zaporizhzhia and Kherson — the four regions annexed after the full-scale invasion in 2022, even though Russian forces don’t fully control them. Kyiv and the West have denounced holding the vote there. Early voting has already started in some regions and will be gradually rolled out in others.

WHO IS ON THE BALLOT?

Putin, 71, is listed as an independent candidate and is seeking a fifth term in office, which would keep him in power for another six years. He will then be eligible to run for another term, having pushed through constitutional changes that reset his term limits in 2020. First elected in 2000, he is now the longest-serving Kremlin leader since Soviet dictator Josef Stalin.

Russian Prime Minister and presidential candidate Vladimir Putin casts his ballot in Moscow on Sunday, March 4, 2012. (AP Photo/Misha Japaridze, Pool, File)

Others on the ballot were nominated by Kremlin-friendly parties represented in parliament: Nikolai Kharitonov of the Communist Party, Leonid Slutsky of the nationalist Liberal Democratic Party, and Vladislav Davankov of the New People Party. Kharitonov ran against Putin in 2004, finishing a distant second.

They broadly support Kremlin policies, including the war in Ukraine. Previous elections have shown such candidates are unlikely to get enough votes to mount a challenge to Putin. In 2018, the Communist Party runner-up got 11.8%, compared with Putin’s 76.7%.

Boris Nadezhdin, a liberal politician who made ending the war his main campaign theme, had drawn unusually broad support while gathering signatures to qualify for a spot on the ballot. But he was barred from running by election officials who declared that many of those signatures were invalid.

Also not on the ballot are opposition figures who could have posed a challenge to Putin. They have been either imprisoned or fled the country. Russia’s best-known opposition politician, Alexei Navalny , died in prison on Feb. 16 while serving a 19-year sentence on extremism charges. His attempt to run against Putin in 2018 was rejected.

WILL THE RUSSIAN ELECTION BE FREE AND FAIR?

Observers have little hope the election will be free and fair.

Independent observers have criticized extending the vote over several days and allowing online balloting, saying such tactics further hinder election transparency.

Opposition groups in 2021 said digital voting in parliamentary elections showed signs of manipulation. Activists reported practices such as forced voting, with video on social media showing ballot-box stuffing.

In the 2018 presidential election, an International Election Observation Mission from the Organization for Security and Co-operation in Europe said that vote lacked genuine competition and was marred by “continued pressure on critical voices.”

DOES THE ELECTION EVEN MATTER?

Abbas Gallyamov, a political analyst who used to be Putin’s speechwriter, has described the vote as one where “multiple choice is replaced with a simple, dichotomic one: ‘Are you for or against Putin?’” and has said that it will be a ”referendum on the issue of the war, and a vote for Putin will become a vote for the war.”

Russian President Vladimir Putin attends a meeting with his election campaign activists in Moscow, Russia, Wednesday, Jan. 31, 2024. (AP Photo/Alexander Zemlianichenko, Pool)

But with no real alternatives to Putin on the ballot, the fractured and weakened opposition sees the election as a somewhat limited opportunity to demonstrate discontent with him and the war.

Shortly before his death, Navalny urged voters to show up at the polls at noon on Sunday, the final day of voting, to push that message in a way that the authorities cannot stop.

“Putin views these elections as a referendum on approval of his actions. Referendum on approval of the war,” Navalny had said in a statement passed on from behind bars. “Let’s break his plans and make sure that on March 17, no one is interested in the fake result, but all of Russia saw and understood: the will of the majority is that Putin must leave.”

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Asnières-sur-Seine - 92600 Résultats du premier tour des élections législatives 2024

Asnières-sur-Seine : retrouvez les résultats du premier tour des élections législatives 2024.

Les résultats dans les plus grandes communes des Hauts-de-Seine

• Boulogne-Billancourt
• Rueil-Malmaison
• Issy-les-Moulineaux
• Levallois-Perret
• Neuilly-sur-Seine

Les résultats dans les communes limitrophes

• Bois-Colombes
• Gennevilliers
• L'Île-Saint-Denis
• Saint-Ouen-sur-Seine

Les résultats des élections précédentes

Présidentielle 2022 – asnières-sur-seine, législatives 2022 – asnières-sur-seine, régionales 2021 – asnières-sur-seine, départementales 2021 – asnières-sur-seine, municipales 2020 – asnières-sur-seine, européennes 2019 – asnières-sur-seine, législatives 2017 – asnières-sur-seine, présidentielle 2017 – asnières-sur-seine, régionales 2015 – asnières-sur-seine, départementales 2015 – asnières-sur-seine, municipales 2014 – asnières-sur-seine, les derniers articles sur les élections législatives.

« J’ai l’intention de gouverner ce pays », réaffirme Jean-Luc Mélenchon, faisant le miel des opposants de la gauche

Malgré les réticences de plusieurs voix dans son camp, l’« insoumis » a affirmé qu’un consensus avait été trouvé parmi les alliés de gauche pour que ce soit « le groupe parlementaire le plus important qui présente le candidat à la primature ».

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Législatives 2024 : à Montbéliard, l’union des droites « embête un peu » les électeurs du Rassemblement national

« La tentation du RN ». Dans la 3ᵉ circonscription du Doubs, le parti d’extrême droite a préféré investir un candidat Les Républicains plutôt qu’un de ses cadres locaux, suscitant la surprise et parfois le rejet d’une partie de son électorat.

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Législatives 2024 : « Le vote des catholiques s’est éparpillé et radicalisé »

Historiquement acquis à la « droite de gouvernement » et opposé aux extrêmes, le vote catholique français connaît, depuis moins d’une décennie, une évolution inédite, qu’analyse le politiste Yann Raison du Cleuziou dans une tribune au « Monde ».

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En direct : suivez la campagne des législatives

En début d’après-midi, des mobilisations féministes contre l’extrême droite sont prévues dans plusieurs villes de France, notamment Bordeaux, Orléans et Strasbourg. A Paris, le cortège doit s’élancer de la place de République vers 14 h 30.

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Chez les classes moyennes, un vote marqué par la peur du déclassement

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Législatives 2024 : revivez la journée du samedi 22 juin

Interrogé sur France 5 samedi, le fondateur de LFI Jean-Luc Mélenchon a estimé que les européennes ont tranché en sa faveur sa divergence de ligne avec François Ruffin. Il a imputé au député de la Somme la responsabilité de la rupture avec la direction du mouvement.

Publié hier à 22h54, modifié à 07h30 Le Monde

Législatives 2024 : l’ex-ministre Aurélien Rousseau, candidat de la gauche, en campagne face à la grande confusion politique

L’ancien ministre de la santé d’Emmanuel Macron, qui avait démissionné du gouvernement au moment de la loi « immigration », a rallié le Nouveau Front populaire. Dans les Yvelines, où il se présente pour les scrutins des 30 juin et 7 juillet, il se confronte au brouillage des lignes politiques qui désarçonne les électeurs.

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Législatives 2024 : à Carmaux, la « volonté de dégagisme » effraie les héritiers de Jaurès

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